Les fiches Historique détaillent les châteaux-forts du département, elles possèdent une description historique, architecturale, des liens...
. Les Châteaux-Forts
- Fiche N° I
* Le Château-fort de Bailly, à Bailly-Romainvilliers
- Fiche N° II
* Le Château de Blandy-les-Tours, à Blandy-les-Tours.
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- Fiche N° IV
* Le Château de Brie-Comte-Robert, à Brie-Comte-Robert.
- Fiche N° V
* Le Château-fort de Challeau, à Dormelles
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- Fiche N° VI
* Le Château-fort de Coulommiers, à Coulommiers
- Fiche N° VII
* Le Château-fort de Courchamp, à Courchamp
- Fiche N° VIII
* Le Château-fort de Courtavenel, à Vaudoy-en-Brie
- Fiche N° IX
* Le Château-fort de Crécy-en-Brie, à Crécy-en-Brie
- Fiche N° X
* Le Château-fort de Dammartin, à Dammartin-en-Goële
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- Fiche N° XI
* Le Château-fort de Diant, à Diant
- Fiche N° XII
* Le Château-fort de La Borde, à Châtillon-la-Borde
- Fiche N° XIII
* Le Château-fort de La Motte Beauvoir ou Beauvais, à Nangis
- Fiche N° XIV
* Le Château-fort de La Motte Rieux, à Bazoches-les-Bray
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- Fiche N° XV
* Le Château-fort de Lorrez-Bocage-Préau, à Lorrez-Bocage-Préau
- Fiche N° XVI
* Le Château de Meaux, à Meaux
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- Fiche N° XVII
* Le Château de Melun, à Melun.
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- Fiche N° XVIII
* Le Château-fort de La Motte Rieux, à Bazoches-les-Bray
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- Fiche N° XV
* Le Château-fort de Lorrez-Bocage-Préau, à Lorrez-Bocage-Préau
- Fiche N° XVI
* Le Château de Meaux, à Meaux
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- Fiche N° XVII
* Le Château de Melun, à Melun.
- Fiche N° XVIII
* Le Château-fort de Moret, à Moret-sur-Loing
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- Fiche N° XIX
* Le Château-fort de Montaiguillon, à Louan-Villegruis-Fontaine
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- Fiche N° XX
* Le Château-fort de Montgermont, à Pringy
- Fiche N° XXI
* Le Château-fort de Montjay, à Villevaudé
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- Fiche N° XXII
* Le Château-fort de Montramé, à Soisy-Bouy
- Fiche N° XXIII
* Le Château-fort de Nantouillet, à Nantouillet
Le château
Lorsque le prince de Condé rachète le château de La Chapelle, il s'agit encore de la forteresse médiévale de Gauthier. Des bâtiments encadrent une cour et un donjon. Le château est alors rasé à la hauteur du premier étage. Les quatre tours et le donjon sont supprimés, les façades sur cour sont refaites. La tour carrée à l'angle du nord est datée de cette époque, avec des meurtrières pour battre les deux ponts-levis situés alors au nord et à l'est. L' escalier d'honneur est construit en même temps. Au XIXe siècle, le château est vendu à un marchand de meubles qui le loue, démonte les cheminées et les grilles et finit par le vendre en 1867 à un antiquaire. Acquis en 1872 par François Castille, boucher, le château retrouve peu à peu son domaine. Le nouveau propriétaire et sa fille rachètent en effet des terres et créent un nouveau parc. Pendant la guerre de 1914-1918, le château est transformé en hôpital. La paix revenue, la famille Ziegel entreprend des travaux de réparation et de modernisation. Il subit de nouvelles dégradations pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1984 la commune l'achète et y entreprend des travaux de réfection de la toiture.
Le château
C’est probablement vers le milieu de la guerre de Cent Ans qu’est construite l’enceinte fortifiée du château, fief de la famille de Sergines, puis des Verjus. Pierre Bureau s’en porte ensuite acquéreur. Sans postérité, il lègue, en 1492, sa terre des Marêts à son beau-frère Guillaume Dauvet, conseiller au Parlement de Paris. Pierre Dauvet des Marêts, petit-fils de Guillaume, gentilhomme de la chambre du roi, et son épouse, Marthe de Rouvroy de Saint-Simon Sandricourt, font bâtir, puis ériger en paroisse, vers 1580, l’église Saint-Hubert, également dédiée à la Sainte Trinité.
Le Château de Lisy appartenait au controleur général des domaines de Charles X, le château, autrefois forteresse qui soutint plusieurs sièges, possédait trois tourelles deux ont été détruites durant la révolution. Au XVIe il est en ruines : des travaux sont engagés (1540-1542). Est ajouté un corps de logis de deux étages avec des façades plâtrées pour donner l’apparence de pierres de taille. En 1637 un contrat est passé avec un jardinier de Réau pour son entretien quotidien (ménage, jardin, élagage…) ainsi que la création d’une pépinière d’arbres fruitiers.Le château va se dégrader au fil des ans. Quelques parties du château subsistent encore au début du XIXe siècle, la troisième tourelle a été démolie par mr Bazin au milieu du XIXe siècle.
Le château a été construit par Charles du Brullat sur une île de l’Ourcq. Il est formé d’un corps de logis rectangulaire fait d’épaisses murailles percées de fenêtres étroites, ponctué de deux tours et d’un donjon, disparu aujourd’hui.
* Le Château-fort de Nantouillet, à Nantouillet
- Fiche N° XXIV
* Le Château-fort de Nemours, à Nemours
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- Fiche N° XXVII
* Le Château-fort de Pouilly, à Pouilly-le-Fort (hameau de Vert-Saint-Denis)
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- Fiche N° XXVIII
* Le Château-fort de Sigy, à Sigy
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- Fiche N° XXIX
* Le Château-fort de Souppes, à Souppes-sur-Loing
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* Le Château-fort de Nemours, à Nemours
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- Fiche N° XXV
* Le Château-fort de Pamfou, à Pamfou
- Fiche N° XXVI
* Le Château-fort de Pécy, à Pécy
- Fiche N° XXVII
* Le Château-fort de Pouilly, à Pouilly-le-Fort (hameau de Vert-Saint-Denis)
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- Fiche N° XXVIII
* Le Château-fort de Sigy, à Sigy
* Le Château-fort de Souppes, à Souppes-sur-Loing
- Fiche N° XXX
* Le château-fort de Launoy-Renault, à Verdelot
- Fiche N° XXXI
* Le château-fort de Vimpelles, à Vimpelles
Attilly
A une lieue de Brie-Comte-Robert, appartenant à Mons., le Marquis de Bullion
Bernay-Vilbert
Il y avait deux châteaux-forts au XIIe siècle pour assurer la défense de la frontière de la Champagne et de la Brie. Celui de Bernay fut détruit au XIXe et celui de Vilbert fut détruit au XVIe siècle.
Condé-Sainte-Libiaire
Au confluent du grand Morin et de la Marne, ce petit village d'origine Gauloise accueillait dès le XIIIe siècle sa seigneurie. Le château de Condé-Sainte-Libiaire a été construit à la fin du XIIe siècle, sous la forme d’un petit château-fort. Il se trouve entre Meaux et Lagny. Le village de Condé est un ancien village qui dépendait de la Province de Champagne et Brie. Au XII et XIIIe siècle Condé était un pays vignoble, on y comptait 29 viticulteurs.
Au XIIIe siècle, la seigneurie du village appartenait aux bénédictins de Saint-Pierre-de-Lagny. Ils en conservèrent la propriété jusqu’au XVe siècle. Après les guerres, l’abbé de Lagny dû vendre ses possessions, les ressources du monastère ayant été épuisées. Le château fut incendié pendant les guerres de religion. Il a ensuite été reconstruit courant du XVIIe siècle. Sous Louis XIII, l’ancien château fort donna place au château actuel. Il sera plus tard, restauré. Aujourd’hui, il est la propriété de la famille Arribas, maîtres verriers spécialisés en objets d’arts de génération en génération depuis le XVIIIe siècle. Explorez l’édifice et son parc à la découverte des secrets des souffleurs de verre avec le Château des Alchimistes, une chasse aux trésors mettant en valeur cet artisanat énigmatique.
Au XIIIe siècle, la seigneurie du village appartenait aux bénédictins de Saint-Pierre-de-Lagny. Ils en conservèrent la propriété jusqu’au XVe siècle. Après les guerres, l’abbé de Lagny dû vendre ses possessions, les ressources du monastère ayant été épuisées. Le château fut incendié pendant les guerres de religion. Il a ensuite été reconstruit courant du XVIIe siècle. Sous Louis XIII, l’ancien château fort donna place au château actuel. Il sera plus tard, restauré. Aujourd’hui, il est la propriété de la famille Arribas, maîtres verriers spécialisés en objets d’arts de génération en génération depuis le XVIIIe siècle. Explorez l’édifice et son parc à la découverte des secrets des souffleurs de verre avec le Château des Alchimistes, une chasse aux trésors mettant en valeur cet artisanat énigmatique.
Damartin-en-Goële
Château à double enceinte circulaire, petit bois rond à proximité.
Dammartin-sur-Tigeaux
Le village se situe entre la forêt et la rivière "le grand Morin", bâti à mi-côte, il a été divisé en haut et bas Dammartin.
Ces deux parties formaient deux seigneuries distinctes avec leurs justice particulière. Celle du premier relevait de Melun, tandis que l'autre relevait du bailliage de Meaux. La terre se rattachait au comté de Crécy pour le bas de Dammartin et du marquisat de Nangis pour le haut qui comprenait le château.
Le château féodal appartenait au commencement du XIIIe siècle à la famille de Garlande, une des plus puissantes de la contrée. Les de Garlande étaient belliqueux, Guillaume de Garlande s'était même emparé des biens que les abbayes de Pontoise et de Faremoutiers tenaient a Mortcerf et Dammartin. Son fils, Guy, restitua leurs biens à ces abbayes et favorisa l'abbaye de Saint Faron de Meaux, Etienne Bocelle, gendre de Guy, reprit la seigneurie. Grisy-Suisnes
Le premier seigneur de la Grange semble avoir été Ansellus ou Ancellus de Granchia, au début du XIIIe siècle. La seigneurie connaît à cette période un rayonnement modeste puisque son détenteur, chevalier de la châtellenie de Corbeil, détient le rang de vavasseur. Elle comprend toutefois un domaine déjà important qui inclut des bois, une ferme, des terres labourables étendues et un château fort. Un village de taille réduite voit rapidement le jour à proximité de cette bâtisse. La Grange dépend de Jeanne de Navarre, reine de France de 1285 à 1304, comme l'un des arrière-fiefs de son château de Brie-Comte-Robert. Sa propriété revient néanmoins pour moitié à la famille des comtes de Melun.
Gurcy-le-Châtel
Possédait un château-fort circulaire muni de tourelles apparentes entouré de grands fossés qu' alimentait le ruisseau qui descend à Dontilly. Il était agrémenté d'un pont-levis à l' entrée et était posé dans un paysage marécageux au fond d' un vallon. Il existe un tracé aérien héxagonal d'un vieux château à l'ouest de Dontilly, près de chalautre la reposte, un tracé qui rapellerait la motte féodale ou le castel carré.
La ville aux bois, Ferme de..., par Lumigny
Ferme avec fossés circulaires pleins d'eau.
La Chapelle-Gauthier
Château-fort puis Château
Lorsque le prince de Condé rachète le château de La Chapelle, il s'agit encore de la forteresse médiévale de Gauthier. Des bâtiments encadrent une cour et un donjon. Le château est alors rasé à la hauteur du premier étage. Les quatre tours et le donjon sont supprimés, les façades sur cour sont refaites. La tour carrée à l'angle du nord est datée de cette époque, avec des meurtrières pour battre les deux ponts-levis situés alors au nord et à l'est. L' escalier d'honneur est construit en même temps. Au XIXe siècle, le château est vendu à un marchand de meubles qui le loue, démonte les cheminées et les grilles et finit par le vendre en 1867 à un antiquaire. Acquis en 1872 par François Castille, boucher, le château retrouve peu à peu son domaine. Le nouveau propriétaire et sa fille rachètent en effet des terres et créent un nouveau parc. Pendant la guerre de 1914-1918, le château est transformé en hôpital. La paix revenue, la famille Ziegel entreprend des travaux de réparation et de modernisation. Il subit de nouvelles dégradations pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1984 la commune l'achète et y entreprend des travaux de réfection de la toiture.
Les Marêts
Château-fort
C’est probablement vers le milieu de la guerre de Cent Ans qu’est construite l’enceinte fortifiée du château, fief de la famille de Sergines, puis des Verjus. Pierre Bureau s’en porte ensuite acquéreur. Sans postérité, il lègue, en 1492, sa terre des Marêts à son beau-frère Guillaume Dauvet, conseiller au Parlement de Paris. Pierre Dauvet des Marêts, petit-fils de Guillaume, gentilhomme de la chambre du roi, et son épouse, Marthe de Rouvroy de Saint-Simon Sandricourt, font bâtir, puis ériger en paroisse, vers 1580, l’église Saint-Hubert, également dédiée à la Sainte Trinité.
Lissy
Le château-fort médiéval
Lizy-sur-Ourcq
Le vieux château
Pommeuse
Le domaine du Château de Pommeuse, édifié entre 1825 et 1830, est inscrit dans un grand parc de 15 hectares avec douves en eau entourant les vestiges de l’ancien château-fort. Vernou-la-Celle
Domaine de Graville; une première forteresse est construite vers 1235, et ruinée au début du XVIe siècle. La construction d'un château neuf est entreprise à partir de 1580, sans doute par l'architecte Baptiste Androuet du Cerceau. Ce dernier utilise les fondations de l'ancienne forteresse et reprend le plan rectangulaire permettant une construction moderne symétrique. Les jardins, représentés sur une carte des chasses du roi du début du 18e siècle, consistent en parterres devant le corps de logis, prolongés par une demi lune et une patte d'oie qui ouvrent sur les bois. En 1863, la comtesse de Lancosme ne conserve que le corps central et fait raser le reste. Le bâtiment central est intérieurement transformé. Les jardins sont transformés en parc paysager par Denis Bühler.
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Les places fortes de Seine-et-Marne
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