samedi 26 juillet 2008

L'art en France, un survol.....


















L'art en France a su se faire, se diversifier, acquérir de grands savoir-faire que le monde nous envie. Cette diversification, ce travail d'art et d'artisanat d'art, nous pouvons le retrouver un peu partout en France, parfois un peu "caché", parfois au grand jour, lorsque, là, près d'une ville, d'un château, d'un lieu bien ciblé, l'art naît, renaît, nous emporte vers des chemins que lui et lui seul sait bâtir....

Cette diversification c'est installée dans une région, dans une ville, dans un département, elle a su évoluer, aller avec le temps, avec les ans depuis des siècles maintenant, des traditions Françaises se sont transmises, se sont façonnés, pour qu'au jour d'aujourd'hui nous puissions jouir d'un patrimoine inoubliable, riche de tout sens en lequel bien des sens peuvent se rencontrer, se construire...



- L'enluminure:
Qu'est-ce qu'un manuscrit enluminé ?




Le mot manuscrit vient du latin : manus (main) et scribere (écrire), c'est-à-dire un texte écrit à la main.Les termes de «miniature» ou d'«enluminure» sont fréquemment employés pour désigner la décoration peinte dans les livres. Celui de «miniature» provient de l'italien «miniatura», lui-mème issu du verbe latin »miniare», c'est-à-dire «enduire de minium» - un oxyde de plomb de couleur rouge utilisé pour tracer les initiales et les titres appelés rubriques. Une miniature désigne, au sens large, la représentation d'une scène ou d'un personnage dans un espace indépendant de l'initiale. Le verbe latin «illuminare» (éclairer, illuminer) a donné le mot français «enluminer».
Ce terme regroupe aujourd'hui l'ensemble des éléments décoratifs et des représentations imagées exécutés dans un manuscrit pour l'embellir, mais au xiiie siècle il faisait référence surtout à l'usage de la dorure.


Pour en savoir un peu plus: 
https://essentiels.bnf.fr




- Sculpture en terre cuite du Maine:

Le modelage de la terre





L’abondance des gisements argileux dans le Maine, en particulier autour du Mans, dans la forêt de Bonnétable, à Ligron et Malicorne-sur-Sarthe, a certainement favorisé le développement des ateliers de sculpteurs terracottistes qui étaient affiliés, au XVIIe siècle, à la même compagnie que les “potiers de terre” de la ville du Mans. Souligné-Flacé, église Saint-Rigomer : Saint Martin, 2e moitié du XVIIe siècle, partie détachée de la chape.
Doucelles, église Saint-Martin : Vierge à l’Enfant, 2e moitié du XVIe siècle, revers. Luché-Pringé, église Saint-Martin de Luché : Education de la Vierge, 1659, revers. Ces sculpteurs étaient des modeleurs. Ils apprêtaient généralement leurs pièces par accumulation de colombins autour d’une âme, constituée d’une pièce de bois ou d’un bourrage d’autres éléments végétaux ou de papier huilé, qui maintenait la sculpture pendant le temps de son façonnage. Certaines finitions étaient obtenues en ajoutant des éléments modelés à part que l’on fixait sur la sculpture au moyen de barbotine. Ces éléments apparaissent lorsque, à la suite de quelque accident, ces éléments se trouvent détachés de l’ensemble : ainsi la partie supérieure du crâne d’un Saint Pierre, à Moncé-en-Saosnois, ou la retombée de la lisière d’une chape sur un Saint Martin de Souligné-Flacé.
L’artiste évidait ensuite l’intérieur de la sculpture en élargissant la cavité laissée par l’âme, qu’il ôtait avant le passage au four. Sur le revers, il perçait un ou plusieurs trous d’évent destinés à évacuer l’humidité de la terre pendant la cuisson. Ces revers n’étaient que très rarement destinés à être apparents, la statue étant le plus souvent adossée au retable, à l’intérieur d’une niche.

Aussi, ces derniers ne sont-ils que très exceptionnellement obturés, le revers de la statue n’étant généralement pas apprêté. Si une figure est destinée à être vue de profil, comme le Saint François de Luché-Pingé qui représente sans doute le saint patron d’un donateur à genoux, c’est le profil opposé qui est alors percé de trous d’évent. La forme des évents importe peu : ces derniers sont circulaires le plus souvent (la Vierge de Vouvray-sur-Huisne), ovales parfois (une Vierge et une Sainte à Doucelles) ou encore plus ou moins rectangulaires (la Vierge d’Écommoy). Leurs contours fonctionnent parfois comme une véritable “marque de fabrique” d’un atelier : sur la plupart des œuvres de Hoyau (le Saint François de la cathédrale du Mans) et de Delabarre, ils ont souvent été pratiqués avec soin, respectant un tracé très régulier.





Il arrive que l’artiste profite de ce que la terre est encore fraîche pour y inciser une inscription, sa signature, comme sur le Saint-Pierre de Doudieux à Loué ou la Vierge de douleur de Hoyau à la cathédrale du Mans, ou une date, 1659 sur l’Éducation de la Vierge de Luché-Pringé, 1681 au revers d’une Vierge à l’Enfant à Saint-Mars-d’Outillé.


http://www.sculpturesdumaine.culture.fr/fr/index.html




- La maçonnerie d'art:






La maçonnerie est l'art de bâtir une construction par assemblage de matériaux élémentaires liés de manière non réversible. C'est l'art du maçon par définition.
La maçonnerie traditionnelle est appelée limousinerie. Par extension, on associe aussi sous le terme « maçonnerie » les travaux d'habillage des ensembles : pose d'enduits, de carrelages, etc., qui non seulement ont un but esthétique mais participent à la tenue de l'ensemble face aux agressions externes (humidité, gel, etc.). Un produit qui reflète de plus en plus cette association est le stuc d'acrylique qui remplace le stuc traditionnel fait à partir de chaux.
Le terme Maçonnerie avec une majuscule, peut aussi désigner la Franc-maçonnerie.




- La Ferronnerie d'art:




La ferronnerie est l'art et la technique du travail du fer à la forge, à l'étampe ou au marteau. Les ouvrages de ferronnerie sont réalisés par un ferronnier. On peut distinguer:



* La ferronnerie domestique, qui regroupe les ustensiles culinaires, (tournebroches, chenets) et la ferronnerie funéraire.

* La ferronnerie du travail, liée à la production agricole ou artisanale (charrues, bêches, herses, outillages).Aucun traité de serrurerie antérieur au XVIIe siècle n'a été conservé[1]; le premier traité qui nous soit parvenu fut écrit par Mathurin Jousse en 1627, suivi en 1762 par l'Art du serrurier rédigé par Duhamel du Monceau.

* La ferronnerie du bâtiment, qui produit des objets et des ornements architecturaux en fer forgé (garde-corps, grilles, rampes, ou objets d'art). La ferronnerie a constitué le prolongement décoratif naturel des bâtiments de toutes les époques. Simultanément au perfectionnement des techniques d'extraction du fer, la ferronnerie, plus légère et plus résistante, a remplacé les protections de bois ou de pierre qui sécurisaient les édifices.


La ferronnerie a connu un développement très important au XIXe siècle avec l'apparition de la fonderie et la diffusion de modèles industriels en fonte.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferronnerie



- L'ébénisterie:





L'ébéniste fabrique des meubles et panneaux, en bois, composés d'un bâti en menuiserie sur lequel sont appliquées des feuilles de bois précieux appelées placages ou de toute autre matière qui dissimulent entièrement ou partiellement le bâti.Il peut produire à l'unité ou en petit nombre. L'ébéniste est avant tout un artisan. Le mot ébénisterie apparaît dans le dictionnaire de l'Académie en 1732 pour la première fois ; pour le différencier du terme menuiserie, car les artisans ébénistes, en plus des techniques de la menuiserie font appel à la marqueterie au placage et à la tabletterie. Il est tiré du mot ébène, racine probablement nubienne (Égypte) ayant fait le tour de la Méditerranée par la Grèce puis Rome, et désignant le bois de l'ébénier, de couleur noire. C'est le travail de cette essence précieuse qui a donné le nom au métier chargé d'ouvrage « à caractère plus décoratif qu'utilitaire ».

Les meubles d'ébénistes peuvent être de style ancien ou de création contemporaine. Le maître d'œuvre assure les différentes étapes de fabrication : choix du modèle et du bois, sciage et corroyage, réalisation des assemblages, du décor et du montage. Les commodes, encoignures, secrétaires, cabinets, bureaux et autres meubles recouverts d’écailles, de bois de placage, de marqueterie, de laque, de vernis, de porcelaine sont des meubles d’ébénisterie. La finition du meuble est parfois confiée à un artisan spécialisé : marqueteur, monteur en bronzes, sculpteur sur bois, doreur, vernisseur.

http://www.unama.org/




- La verrerie:






Le verre existe déjà naturellement depuis plusieurs centaines de milliers d’années. L’Homme l’utilisa pour la première fois il y a 100 000 ans sous forme d’obsidienne, (verre naturel d’origine éruptive) pour fabriquer des outils, des armes coupantes et des bijoux.

http://maintenance-et-batiment.blogspot.fr/2014/04/lart-du-verre.html











* La ville et les métiers d'Art

Une invitation à découvrir les ressources parfois méconnues d'un esprit français où la création est au service d'un certain Art de Vivre. Un Art de Vivre pour tous... et pour longtemps.

François DOUBIN - Président Fondateur   www.vma.asso.fr




Quelques exemples:

Valauris:





Ville de tradition céramique,dotée d'un riche patrimoine artistique.Picasso y a vécu et sa création reste présente dans la ville. Un Musée
National"Chapelle-Picasso-La Guerre & la Paix", Musée Magnelli, Musée de la Céramique, une centaine d'ateliers ouverts toute l'année, une école municipale des Beaux Arts céramiques, loisirs et diplôme municipal, une biennale internationale de céramique d'art, des expositions mensuelles, des conférences , des stages, un espace Musée dédié à Jean Marais.Des traditions régionales: cueillette de la fleur d'oranger, création et vente de parfums, artisans verriers et cristalliers.

Town of ceramic traditions, endowed with a rich artistic heritage. Picasso lived here and his works are still present in the town. A national Museum " the Picasso Chapel-War and Peace", the Magnelli Museum, a Ceramic Museum, a hundred potteries and workshops opened all the year, a city school of fine arts and ceramic, monthly exhibitions, conferences, courses, a display room dedicated to Jean Marais.

Regional traditions: orange flower harvesting, creation and sale of perfumes, glassblowing and crystal work.

http://www.vallauris-golfe-juan.fr/



Strasbourg:





Capitale européenne inscrite au Patrimoine Mondial de l'Unesco. Ville d'art chargée d'histoire. Ancienne tradition artisanale dans les Métiers d'Art : ébéniste, staffeur et stucateur, facteur d'orgues, sculpteur sur bois, ferronnier, doreur, tapissier, luthier, etc. Pôle européen en devenir pour les Métiers d'Art.


http://www.strasbourg.eu/accueil



 Nancy:







  Nancy s'illustre aussi dans les métiers du verre et du cristal dans la tradition de l'Ecole de Nancy ,animée à la fin du XIX° siècle par les artistes E.Gallé,A.Daum,L.Majorelle.  


https://www.nancy.fr/accueil



Nevers:
 






Célèbre pour ses faïenciers et verriers installés sur son territoire dès la fin du XVIe siècle, la Ville de Nevers souhaite valoriser ces savoir faire alliant techniques traditionnelles et créativité.


https://www.nevers.fr/














Les métiers d’art sont l’héritage de savoir-faire précieusement élaborés au fil des siècles. Ils offrent une palette de plus de 200 métiers répartis en 19 secteurs. Terre, verre, bois, cuir, arts graphiques ou arts du spectacle… Cette grande diversité représente une ressource infinie pour tous les artisans, artistes et créateurs.
 Elle évolue sans cesse au gré des innovations et des collaborations. Un métier d’art peut être défini par l’association de trois critères : 

- Il met en œuvre des savoir-faire complexes pour transformer la matière. 

- Il produit des objets uniques ou des petites séries qui présentent un caractère artistique. 

- Le professionnel maîtrise ce métier dans sa globalité. 

 Les professionnels des métiers d’art sont d’abord des hommes et des femmes de passion. Ils peuvent travailler pour la conservation et la restauration du patrimoine. Ils peuvent aussi œuvrer dans le domaine de la création en lien avec les particuliers, les décorateurs ou les designers. Métiers d’hier et d’aujourd’hui, les métiers d’art sont surtout des métiers d'avenir. Ils éveillent sans cesse de nouvelles passions et vocations.

http://www.institut-metiersdart.org/metiers-d-art





* L'art, les métiers d'Art en France





L'Art et quelques villes et villages de France

http://maintenance-et-batiment.blogspot.fr/2014/04/lart-et-quelques-villes-et-villages-de.html




Les métiers d'Art par régions

http://maintenance-et-batiment.blogspot.fr/2014/07/les-metiers-dart-par-region.html












* L'Art religieux




- Les Orgues:






On s’accorde à dire que le premier orgue a été inventé par un Grec d’Alexandrie, Ctésibios, au IIIe siècle av. J.-C. Cet ancêtre fonctionnait avec de l'eau et reçut le nom d’hydraulos, ou hydraule, c’est-à-dire » l'aulos qui fonctionne avec de l’eau.
Mais la préhistoire mythologique de l’orgue commence avec la figure grecque du satyre Marsyas, un joueur d’aulos, le « patron » des futurs organistes, qu’on sait avoir été en lutte avec Apollon, le « patron » des joueurs de lyre, et donc des clavecinistes modernes et des harpistes.
Pétrone, dans son Satyricon nous apprend qu'au cirque, l'hydraule accompagnait les courses de chars.
De petits orgues comparables à nos orgues dits de Barbarie furent en usage chez les Romains, notamment dans les théâtres ; ceci explique la méfiance des premiers évêques chrétiens à l’égard des joueurs d’instruments et des musiciens, toutes catégories confondues. Néron aurait découvert cet instrument pendant un voyage en Grèce, il fit vœu d'en jouer pour célébrer son triomphe si la victoire lui était donnée sur les Gaulois lors de la sédition de 67. Ses successeurs, Élagabal, Alexandre Sévère, Gallien, furent de fervents admirateurs de l’orgue. Plusieurs fragments d'orgue d'époque romaine ont été retrouvés, dont celui d'Avenches en Suisse.

À Byzance, l’orgue devient un instrument de la pompe impériale après le transfert du siège de l’Empire romain du fait des invasions barbares. Un orgue a été offert par une ambassade de Constantin V, empereur de Byzance, à Pépin le Bref en 750. Cette réintroduction de l’instrument en Occident, qui avait disparu après les invasions barbares, n’a d’abord servi qu’à rehausser la pompe profane des palais.
Ce n’est que plus tard qu’il fait progressivement son entrée dans l’église catholique : dans les cloîtres d’abord (comme « guide-chant ») au XIe siècle, puis au XIIe siècle dans les églises, vraisemblablement sous l’impulsion du pape Sylvestre II[réf. nécessaire], qui aurait construit un orgue encore visible dans la cathédrale de Reims au XIIe siècle. Cette entrée, bien que progressive, ne se fit pas sans causer du trouble et des polémiques ainsi que des litiges plus ou moins passionnels entre organistes.[réf. nécessaire] Au XIIIe siècle, les grandes églises européennes rivalisent entre elles : elles agrandissent leurs instruments ou en construisent de nouveaux. L’orgue est définitivement reconnu par le monde religieux.

Pour en savoir plus....:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Orgue




- Centre du Vitrail:

https://www.centre-vitrail.org/fr/histoire-de-vitrail/














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Une légende Gasconne

Le serpent des Pyrénées

Une légende gasconne affirme qu'il y avait autrefois, dans la Montagne (les Pyrénées), un Serpent long de cent toises, plus gros que les troncs des vieux chênes, avec des yeux rouges, et une langue en forme de grande épée. Ce Serpent comprenait et parlait les langues de tous les pays ; et il raisonnait mieux que nul chrétien n'était en état de le faire. Mais il était plus méchant que tous les diables de l'enfer, et si goulu que rien ne pouvait le rassasier.
Nuit et jour, le Serpent vivait au haut d'un rocher, la bouche grande ouverte comme une porte d'église. Par la force de ses yeux et de son s plumes, et venaient plonger dans sa gueule. Cela fut au point que nul n'osait aller garder son bétail à moins de trois lieues de la demeure du Serpent. Alors, les gens du pays s'assemblèrent, et firent tambouriner dans tous les villages : « Ran tan plan, ran tan plan, ran tan plan. Celui qui tuera le Serpent, sera libre de toucher, pour rien, sur la Montagne, cent vaches avec leurs veaux, cent juments avec leurs poulains, cinq cents brebis et cinq cents chèvres.

En ce temps-là vivait un jeune forgeron, fort et hardi comme Samson, avisé comme pas un. « C'est moi, dit-il, qui me charge de tuer le Serpent, et de gagner la récompense promise. » Sans être vu du Serpent, il installa sa forge dans une grotte, juste au-dessous du rocher où demeurait la male bête. Cela fait, il se lia, par la ceinture, avec une longue chaîne de fer, et plomba solidement l'autre bout dans la pierre de la grotte. « Maintenant, dit-il, nous allons rire. »
Alors, le forgeron plongea dans le feu sept barres de fer grosses comme la cuisse, et souffla ferme. Quand elles furent rouges, il les jeta dehors. Par la force des yeux et de l'haleine du Serpent, les sept barres de fer rouges s'enlevèrent de terre comme des plumes et vinrent plonger dans sa gueule. Mais le forgeron fut retenu par sa chaîne, et il rentra dans la grotte. Une heure après, sept autres barres de fer rouge, grosses comme la cuisse, s'enlevèrent de terre comme des plumes et vinrent plonger dans la gueule du Serpent. Mais le forgeron fut retenu par sa chaîne, et il rentra dans la grotte.
Ce travail dura sept ans. Les barres de fer rouge avaient mis le feu dans les tripes du Serpent. Pour éteindre sa soif, il avalait la neige par charretées ; il mettait à sec les fontaines et les gaves. Mais le feu reprenait dans ses tripes, chaque fois qu'il avalait sept nouvelles barres de fer rouge. Enfin, la male bête creva. De l'eau qu'elle vomit en mourant, il se forma un grand lac. Alors, les gens du pays s'assemblèrent, et dirent au forgeron : « Ce qui est promis sera fait. Tu es libre de toucher, pour rien, sur la Montagne, cent vaches avec leurs veaux, cent juments avec leurs poulains, cinq cents brebis et cinq cents chèvres. »
Un an plus tard, il ne restait plus que les os du Serpent sur le rocher dont il avait fait sa demeure. Avec ces os, les gens du pays firent bâtir une église. Mais l'église n'était pas encore couverte, que la contrée fut éprouvée, bien souvent, par des tempêtes et des grêles comme on n'en avait jamais vu. Alors, les gens comprirent que le Bon Dieu n'était pas content de ce qu'ils avaient fait, et ils mirent le feu à l'église.











Quelques adresses relatives aux métiers d'art:

Fédération, centre de recherche, guide, annuaire, etc...:

https://www.annuaire-metiersdart.com/


Source multimédia:

https://www.institut-metiersdart.org

Informations du site métiersdart-artisanat.com



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- La France Pittoresque:
www.france-pittoresque.com


- Le monde culturel au Moyen-âge:
http://unchemindeliledefrance.blogspot.fr

- Les labyrinthes végétal des châteaux:
http://unchemindeliledefrance.blogspot.fr/2012/09/les-labyrinthes.html

- L'art en Champagne au Moyen-âge
http://www.persee.fr/doc/ccmed_0007-9731_1959_num_2_7_1538





Un chemin vers les châteaux en Ile-de-France...


Le Monde des Châteaux

Les Châteaux construits, détruits en Ile-de-France




 



Association "Un Chemin Historique et Touristique en Ile-de-France":





- Le site de l'Association:






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