Ce post à pour vocation de faire découvrir et de faire connaitre les Grands sites (hors Grands Châteaux - tel Ecouen, Fontainebleau, Chantilly, Rambouillet, etc....) de la région Ile-de-France, les incontournables, les domaines nationaux tel Courson:
- Le Château d'Ambleville.
Le Château construit sur la commune d'Ambleville dans le Véxin Français, le domaine est classé au titre des monuments historiques,il a reçu le label Jardin remarquable, décerné par le Ministère de la culture.
Bâti pour Louis de Mornay par l'architecte Jean Grappin, il fut bâti sur les bases d'une forteresse féodale postée sur les bords de l'Aubette, aux confins de l'Île-de-France et de la Normandie, alors anglaise.
En 1893, le riche marchand d'art Charles Sedelmeyer achète le château et le restaure à grands frais en y faisant installer un théâtre, des cheminées et des balcons vénitiens et orne le jardin de statues italiennes, maintenant conservées à Villarceaux.
- Le Château d'Anet.
Le château d'Anet est un château Renaissance, situé à Anet en Eure-et-Loir, qui fut commandité par Henri II pour Diane de Poitiers.
Il fut construit sous la direction de Philibert Delorme (architecte), Jean Goujon (sculpteur) et Jean Cousin (peintre).
Décrété bien national, il fut vendu le 5 septembre 1797. L'acquéreur fit sauter à la mine le corps central et l'aile droite en équerre. Seule subsiste aujourd'hui l'aile gauche du château.
- Le Château de Belesbat.
Le château, qui existait déjà en 1479, fût construit sur la commune de Boutigny sur Essonne au cœur de la forêt de Fontainebleau, il est connu dans les comptes du roi Louis XI sous le nom de «Logis du Roi». La partie qui subsistait encore en 1962 fut rasée par son propriétaire, une société immobilière visiblement sans scrupules.
- Le Château de Beynes.
Le Château de Beynes est un château fort situé dans le centre de la commune de Beynes dans le département des Yvelines, en France.
- XIe siècle : ce château, sis en fond de vallée, dont la construction remonte au XIe siècle a eu d'abord un rôle militaire à une époque où le cours de la Mauldre constituait une ligne de défense du domaine royal vers l'ouest, notamment contre les Anglais lors de la guerre de Cent Ans.
- Au XIVe siècle, Robert d'Estouteville fait transformer le château.
- Le Château de Blandy-les-Tours.
Le Château est un château fort médiéval situé sur la commune de Blandy-les-Tours dans le département de Seine-et-Marne, non loin du château de Vaux-le-Vicomte.
Depuis son acquisition par le conseil général de Seine-et-Marne, il a fait l'objet de plusieurs campagnes de restaurations.
L'histoire du château débute dans les textes en 1216. Il appartient au vicomte Adam II de Melun (« de Chailly ») et se réduit à un manoir seigneurial à enceinte irrégulière.
Au XIVe siècle, le château est fortement modifié avec de nouvelles fortifications et structures de défense : un fossé est creusé et une nouvelle tour-porte, avec pont-levis à flèches, est percée dans le mur d'enceinte.
- Le Château de Bourdonné.
Demeure seigneuriale de style Louis XIII qui mire ses murs roses dans l’onde calme des étangs. Le château a été construit au XVIIe siècle pour Charles Ier de Cocherel, conseiller du roi et bailli de Montfort l'Amaury. Edifice de brique et de pierre surmonté d'une haute toiture d'ardoises, il fut restauré au XIXe siècle. José-Maria de Hérédia s’installa au château vers 1901 où il était l’hôte des propriétaires M. & Mme Georges Itasse qui l’entouraient d’une amitié intelligente et profonde, il devait passer les dernières semaines de sa vie.
- Le Domaine de Breteuil.
Le château de Breteuil est un château du XVIIe siècle situé sur la commune de Choisel (Yvelines) à 35 kilomètres au sud-ouest de Paris, dans la haute vallée de Chevreuse.
Le château situé à l'emplacement de l'ancien château de Breteuil s'appelait à l'origine Bévilliers ou Buvilliers, sans doute parce qu'en ce lieu s'élevaient, à l'époque gallo-romaine, deux villas (bis villae). La seigneurie est mentionnée pour la première fois en 1142 et la première référence à un manoir remonte à 1560.
- Le Château de Chamarande.
Le château de Chamarande situé dans la commune française de Chamarande est la propriété du département de l'Essonne.
Le Château est construit dans le plus pur style Louis XIII sur la commune française de Chamarande est situé dans le département de l'Essonne, ancienne province de L'Hurepoix, à trente-neuf kilomètres au sud-ouest de Paris.
Le domaine est devenu un lieu, une place pour l'art contemporain, les expos, les spectacles, les conférences.
- Le Château de Champlattreux.
Le château de Champlâtreux est un château du XVIIIe siècle situé à Épinay-Champlâtreux (Val-d'Oise), qui fut la résidence de campagne de la famille Molé, illustre famille de parlementaires parisiens, et qui appartient à la famille de Noailles depuis le XIXe siècle. Le château avec toutes ses parties construites et son parc a été classé Monuments Historiques par arrêté du 9 mars 1989[1].
La terre de Champlâtreux a été acquise en 1567 par Édouard Molé, président à mortier du parlement de Paris à partir de 1602, et reste depuis dans sa descendance.
- Le Château de Compiègne.
Le château de Compiègne est une ancienne résidence royale et impériale située à Compiègne dans l'Oise (Picardie, France).
Le château de Compiègne fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 24 octobre 1994.
Quatre palais se sont succédé à Compiègne. Le plus ancien remonte au début de la dynastie mérovingienne et datait vraisemblablement du règne de Clovis. Il était probablement construit en bois et son emplacement est malaisé à déterminer.
De nombreux actes officiels sont datés de Compiègne, ce qui semble indiquer que les Mérovingiens y passaient du temps. C'est dans ce « palais royal » de Compiègne que meurt Clotaire Ier en 561, au retour d'une chasse à Saint-Jean-aux-Bois.
- Le Château de Condé.
Situé à Condé-en-Brie (Aisne), sur la route du Champagne, à 100 km à l'est de Paris, le château de Condé est un domaine privé habité toute l'année.
Le château de Condé fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 octobre 1979.
À la demande des Bourbon, des princes de Savoie puis du marquis de La Faye, les plus prestigieux artistes comme Watteau, Boucher ou Oudry réalisèrent ses somptueux décors des XVIIe et XVIIIe siècles. Ce château permet d'évoquer une partie de l'histoire de France au travers de personnages illustres comme les Condé, les Savoie, La Fontaine ou Richelieu, sans oublier Olympe et ses « poudres » mystérieuses…
- Le Château de Coucy.
Le château de Coucy est un château fort, construit à partir du XIIIe siècle sur un éperon rocheux dominant les vallées de l'Oise et de l'Ailette. Il est situé sur la commune de Coucy-le-Château-Auffrique, dans le département de l'Aisne à la limite du Laonnois et du Soissonnais en France.
Le château est classé Monument historique depuis 1862 et appartient à l'État.
La première mention d'un château à Coucy date de 920 : il s'agit d'une simple motte castrale édifiée par Hervé, l'évêque de Reims.
- Le Château de Courances.
Le château de Courances est un château français situé dans la commune française de Courances, dans l'ancienne province du Gâtinais, aujourd'hui département de l'Essonne et la région Île-de-France, à quarante-sept kilomètres au sud-est de Paris.
Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 juin 1983.
Déjà propriétaire du château de Fleury en Bière, le chancelier d'Henri II, Cosme Clausse, acquiert en 1552 Courances, pour ne pas léser dans l'héritage son fils cadet. On lui doit une grande partie du tracé actuel du parc.
Le château date quant à lui des années 1620. Claude I de Gallard, homme fortuné, notaire et secrétaire du roi, fit totalement raser l'ancien manoir pour faire édifier un château totalement dans le style Louis XIII et qui surtout refléterait sa richesse.
- Le Domaine de Courson.
Le château de Courson est situé dans la commune française de Courson-Monteloup, dans l'ancienne province de Hurepoix, aujourd'hui département de l'Essonne et la région Île-de-France, à trente-deux kilomètres au sud-ouest de Paris.
Le domaine date du XVIIe siècle, époque où Guillaume de Lamoignon se fit bâtir un château entouré d'un parc de style classique. Au début du XIXe, le domaine passa dans les mains du duc de Padoue, cousin de Napoléon Ier, qui demanda à Louis Berthault de transformer le parc en jardin à l'anglaise. Créateur de nombreux jardins dont celui de l'impératrice Joséphine à la Malmaison, il fit de Courson un parc aux allées courbes et aux vues faussement naturelles. En 1860, les frères Bühler - qui dessinèrent des parcs publics et privés dans la France entière - intervinrent en plantant de nouvelles essences et firent creuser l'étang.
- Le Château de Dampierre.
Le Château est un château français de style classique situé dans le creux d'un vallon, contre la vallée de Chevreuse, dans la commune de Dampierre-en-Yvelines dans le département des Yvelines et la région d'Île-de-France.
Il a été construit dans le dernier quart du XVIIe siècle par Jules Hardouin-Mansart, sur les ordres du duc de Chevreuse, Charles Honoré d'Albert, gendre de Colbert. Il est situé dans un vaste parc dessiné par Le Nôtre.
Le château de Dampierre, où ont séjourné les rois Louis XIV et Louis XV, est la propriété de la famille d'Albert de Luynes depuis 1663.
- Le Château-fort de Dourdan.
Le château de Dourdan est un château fort français situé dans la commune française de Dourdan, dans l'ancienne province de Hurepoix, aujourd'hui le département de l'Essonne et la région d'Île-de-France, à quarante-six kilomètres au sud-ouest de Paris.
Au Xe siècle, Dourdan faisait partie des fiefs de Hugues le Grand qui y fit construire un castelet en bois, situé à centaine de mètres au nord-ouest de l'actuel château, où il s'éteint en 956. Cette construction perdura suffisamment longtemps pour que Louis VII (1120-1180) en fasse, dit-on, une de ses résidences de chasse.
Entre 1220 et 1222, un nouveau château fut construit à la demande de Philippe-Auguste à l'emplacement du château capétien. Château le plus abouti de Philippe-Auguste, il reprend les caractéristiques des châteaux philippiens de l'époque, comparable aux châteaux de Gisors ou Angers et dans une moindre mesure au Louvre.
- Le Château d'Esclimont.
Le Château d'Esclimont a été construit sur la commune de Saint-Symphorien le Château dans le département de l'Eure-et-Loir.
En 1543, Etienne du Ponchet, seigneur d'Esclimont, chanoine de Chartres et archevêque de Tours rebâtit le château en s'inspirant du style des grandes demeures que ses cousins faisaient élever dans le Val de Loire.
Les XVII et XVIIIe siècles furent les siècles des Bullion. Ils firent transformer le château, le mettant au goût du jour, mais sans raser les tours d'angle, par respect pour leurs ancêtres. Puis le château se transmettra dans la famille Montmorency-Laval jusqu'au mariage, en 1807, de sa propriétaire Elisabeth Hélène Pierre avec Louis François Sosthène de La Rochefoucauld-Doudeauville.
C'est leur fils, Marie Charles Sosthène de La Rochefoucauld qui, en 1865, chargea l'architecte Parent de donner au château un nouveau décor romantique à "la mode Renaissance", et confia le parc au paysagiste Bühler.
Sur la façade côté cour, on peut lire un prénom : Marie. Marie n'était autre que la Duchesse de Doudeauville. Elle avait su inspirer cette preuve d'amour à son époux.
Leur fils Edouard sera le dernier occupant du château jusqu'à son décès en 1968.
- Le Château de Farcheville.
Le Château est un château français situé dans la commune française de Bouville, dans l'ancienne province du Gâtinais, aujourd'hui département de l'Essonne et la région Île-de-France, à quarante sept kilomètres au sud de Paris.
Le château de Farcheville est une forteresse de plaine, disposition inhabituelle, et l'une des plus remarquables d'Ile-de-France. Il comporte en particulier une vaste enceinte rectangulaire entourée de douves humides, flanquée de tours aux angles et dont les mâchicoulis sont portés par de grands arcs en tiers point bandés entre les contreforts. Au milieu de l'un des côtés, l'entrée s'ouvre dans le donjon rectangulaire, à côté d'un pavillon datant du début du XVIIe siècle.
- Le Château Gaillard.
Château Gaillard est une forteresse médiévale en ruine qui se situe au cœur du Vexin normand, à 100 km de Paris sur la commune des Andelys (Eure). Il constitue un morceau d'histoire de France qui domine la vallée de la Seine, mêlant Richard Cœur de Lion et les rois maudits en haut d'une falaise de calcaire. Château-Gaillard a plus de 800 ans. Il devrait son nom à Richard Cœur de Lion qui, le voyant achevé, aurait dit « Que voilà un château gaillard ! ».
Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862
- Le Château-fort de Gisors.
Le château de Gisors, situé dans le Vexin normand, est bâti sur une motte féodale. Il est constitué d'un donjon circulaire qui fut ajouté à une forteresse déjà existante. Essentiellement l’œuvre des ducs de Normandie du XIe au XIIe siècle, cette forteresse frontalière devait défendre le domaine anglo-normand contre les prétentions du roi de France. Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862
Les origines de cette forteresse remontent à la seconde moitié du XIe siècle. Une motte castrale est édifiée dès 1097 par Robert II de Bellême, sur l'ordre du roi d'Angleterre Guillaume II le Roux (1087-1100), régent du Duché de Normandie. Celle-ci est complétée un an plus tard par un donjon de bois, probablement ceint d'une palissade. En 1113, ce site fortifié, dominant la vallée de l'Epte, accueille une rencontre entre les souverains Louis VI de France et Henri Ier Beauclerc d'Angleterre.
- Le Château de Grosbois.
Le château de Grosbois est situé dans le Val-de-Marne sur la commune de Boissy-Saint-Léger.
A l'origine, 1226, on trouve à la place du château une maison forte qui défendait la route allant de Paris en Suisse. Il fallut attendre la fin du XVIe siècle pour que le propriétaire du domaine depuis 1562, Raoul MOREAU, Trésorier de l'Epargne, y construise le pavillon central. Il vendit le château en 1625 au fils naturel du roi Charles IX et de Marie Touchet : Charles de VALOIS, Duc d'Angoulême. Celui-ci y apporta de profondes modifications, lui donnant l'aspect que nous lui connaissons aujourd'hui, et en dessina le parc.
- Le Domaine National de Jossigny.
Le château de Jossigny est un château de style rocaille du XVIIIe siècle, situé à Jossigny, dans le département français de Seine-et-Marne.
Le château de Jossigny fut édifié en 1753 pour Claude-François Leconte des Graviers, conseiller à la Ve chambre des Enquêtes du Parlement de Paris, par l’architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (°1711 – †1778), dernier de l’illustre dynastie des Mansart. Situé à 32 kilomètres à l’est de Paris et à 6 kilomètres au sud de Lagny-sur-Marne, il constitue l’un des plus parfaits exemples d’application du traité de Charles-Etienne Briseux, L’art de bâtir des maisons de campagne, publié à Paris en 1743. Il constitue en même temps un précieux témoignage de l’architecture d’une maison rocaille du milieu du XVIIIe siècle dans tout ce qu’elle a de plus charmant et de pittoresque.
- Le Château de La Roche-Guyon.
Le château de La Roche-Guyon est un château français de la commune de La Roche-Guyon dans le Val-d'Oise aux portes de la Normandie sur la rive droite de la Seine.
L'ancien château fort en ruine, dominé par son donjon, au sommet du coteau a reçu des ajouts importants au XVIIIe siècle au pied du coteau et un jardin et potager « à la française » : le potager du château de la Roche-Guyon.
- Le Château de Maintenon.
Le château de Maintenon est situé dans la commune de Maintenon en Eure-et-Loir, France. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis juillet 1944.
La présence d’un château à Maintenon est attestée depuis le XIIIème siècle. Il appartient à la lignée des Amaury, les seigneurs de Maintenon…Il reste en leur possession jusqu’au XVIème siècle, époque à laquelle ils rencontrent des difficultés financières qui les conduit à céder la place forte. La seigneurie est alors achetée par Cottereau, financier et intendant des Finances du roi Louis XII. Il embellit et agrandit considérablement le château qui passera ensuite à sa descendance.
En 1695, sans descendance directe, Madame de Maintenon lèguera le domaine, en dot, à sa nièce Françoise Amable d’Aubigné, le château restera alors dans la famille de Noailles.
En 1983, M. et Mme Raindre, propriétaires actuels et descendants de la famille des Noailles, lèguent le domaine à la Fondation Maintenon pour sauvegarder ce majestueux patrimoine.
- Le Château de Maisons.
Le Château a été construit entre la Seine et la forêt de Saint-Germain-en-Laye, avec une façade sur jardin orientée sud-est. Originellement, il comportait un jardin, un petit parc de 33 hectares et un grand parc de 300 hectares. On y accédait par deux avenues se croisant en T devant le portail de l'avant-cour (avenue Eglé et avenue Albine) : l'axe principal conduisait à la forêt, l'axe transversal à la Seine, qu'on franchissait par un bac en direction de Paris, en traversant le village situé au sud-ouest du château. Trois portails (outre celui de l'avant-cour) étaient disposés aux extrémités des avenues comprenant chacun deux portes encadrant un saut-de-loup, dispositif appelé « ha-ha » très caractéristique de l'architecture de François Mansart.
- Le Château de Malmaison, ou la Malmaison.
Ce château avait été acheté par madame de la Pagerie, première femme de Napoléon Bonaparte, et elle s'était endettée à cette occasion. Mais quand celui-ci devint consul, il effaça la dette, et fit faire des aménagements intérieurs par les architectes impériaux Percier et Fontaine. Entre 1800 et 1802, Bonaparte vécut entre Paris et Malmaison, aussi, nombre de projets déterminants furent décidés dans la somptueuse salle de conseil, notamment la Légion d'honneur et certains articles du Code civil. Après son divorce, Joséphine fit du château sa demeure principale. Après la chute de l'Empire, le château fut vendu ; c'est un philanthrope qui le racheta pour en faire don à l'Etat, et en 1906, le musée ouvrit ses portes. Il évoque différentes périodes de la vie de Napoléon, et nous fait entrer dans l'intimité du couple Bonaparte-Joséphine.
- Le Château de Marly.
Le Château de Marly, situé à Marly-le-Roi dans les Yvelines, fut édifié sous le règne de Louis XIV. Il fut détruit durant le Premier Empire.
Le pavillon royal est édifié sur une esplanade. En son centre, le grand salon à l'italienne (de forme octogonale), haut de près de 15 mètres, est desservi par quatre vestibules qui relient les espaces situés aux 4 angles du pavillon, et où se trouvent les appartements de la famille royale : ceux du Roi, de la Reine, de Monsieur, frère du Roi et de son épouse, la princesse Palatine. L'appartement du Roi est orienté vers le château de Saint-Germain-en-Laye, lieu de sa naissance.
- Le Château de Mauvières.
Le château de Mauvières est un château située sur la commune de Saint-Forget, dans le département des Yvelines. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 24 janvier 1968.
Le premier seigneur connu de Mauvières, mentionné en 1179, est Bernard de Malverius. Le fief est donné à Ramond de la Rivière de la Martigue dans la deuxième moitié du XIVe siècle, en remerciement de son aide contre les Anglais pour reprendre Bergerac. Il donne aux prairies voisines de Mauvières le nom de Bergerac.
- Le Château du Mesnil-Voisins.
Le château de Mesnil-Voisin est un palais français situé dans la commune française de Bouray-sur-Juine, dans l'ancienne province de Hurepoix, aujourd'hui le département de l'Essonne et la région Île-de-France, à trente-sept kilomètres au sud-ouest de Paris.
Le château a été construit par le réputé maçon de la Creuse : Michel Villedo.
Il possède une orangerie, des cuisines, des remises et des ateliers. Au centre de la cour des communs, un immense et superbe pigeonnier coiffé d'une poivrière présente ses 3 500 boulins (nichoirs intérieurs), sa splendide charpente et son dénichoir mobile. C'est un des rares à être préservé en l'état avec l'escalier mobile interne.
- Le Château de Meudon.
Le château de Meudon est un château situé à Meudon dans le département français des Hauts-de-Seine. Il fut la résidence de Louvois puis de Monseigneur, dit le Grand Dauphin. Incendié en 1795 (ancien château) et en 1871 (nouveau château), le nouveau château, dont la démolition avait été envisagée, est transformé en 1876 en observatoire avant d'être rattaché à l'Observatoire de Paris en 1927.
Le site du château sur l'arête d'un plateau boisé offre des vues sur la Seine et Paris. Situé entre Paris et Versailles, au cœur d'une abondante réserve de chasse, jouissant d'une topographie idéale pour de vastes jardins, il bénéficia d'aménagements somptueux de la part de ses propriétaires successifs.
Le site du château sur l'arête d'un plateau boisé offre des vues sur la Seine et Paris. Situé entre Paris et Versailles, au cœur d'une abondante réserve de chasse, jouissant d'une topographie idéale pour de vastes jardins, il bénéficia d'aménagements somptueux de la part de ses propriétaires successifs.
- Le Château de Milly.
Le Château de Milly-la-Forêt est un château français situé dans la commune française de Milly-la-Forêt, dans l'ancienne province du Gâtinais, aujourd'hui le département de l'Essonne et la région Île-de-France, à cinquante et un kilomètres au sud-est de Paris.
Construit au XIIe siècle par les seigneurs de Milly, le château fut ruiné lors du siège des Anglais en 1432.
À la fin du XVe siècle vers 1475, propriété de l'amiral Louis Malet de Graville, il fut reconstruit et agrandi. Ce qui était alors le donjon devint le châtelet d'entrée, le pont-levis fut remplacé par un pont en pierre définitif et une grille en fermait l'accès entre la tour de défense nord et la maison du gouverneur. Une cour carrée était ceinte de mur et présentait au centre une chapelle dédiée à Saint Valentin.
- Le Château de Monte-Cristo.
Le château de Monte-Cristo est la demeure que l'écrivain Alexandre Dumas se fit construire en 1846 par l'architecte Hippolyte Durand dans un parc de neuf hectares, aménagé dans le style anglais, au Port-Marly (Yvelines).
Le château est une charmante demeure aux façades entièrement sculptées. L'histoire, la nature et l'âme d'Alexandre Dumas sont omniprésentes : motifs floraux, anges, instruments de musique et armes côtoient divers animaux étranges. Au dessus de chaque fenêtre du rez de chaussée, Alexandre Dumas a fait placer un portrait d'écrivain dramatique de toutes les époques.
- Le Château-fort de Nemours.
Le château de Nemours, situé dans la ville de Nemours à l'extrême sud de la région parisienne dans le département de Seine-et-Marne, est une forteresse bâtie au XIIe siècle sur la rive gauche du Loing, au niveau d'un ancien guet1. Cet édifice est l’un des seuls châteaux de ville en Île-de-France parvenu jusqu’à nous. Contrairement aux châteaux construits à la même époque, il a échappé au démantèlement par la royauté grâce à la relation privilégiée des seigneurs de Nemours avec celle-ci.
- Le Château de Neuville.
Le Château est situé à Gambais dans le département des Yvelines.
Le Château de Neuville est de style Henri III en briques et pierres, construit au XVIe siècle par Joachim de Bellengreville, Grand Prévot de l’Hôtel du Roy.
Josiane Sartre dans son ouvrage "Chateaux Brique Et Pierre En France" en attribue le plan à l'architecte français Jacques Ier Androuet du Cerceau.
En 1672 le domaine devint Marquisat de Neuville,
En 1690, François de Nyert, premier valet de chambre du roi Louis XIV, gouverneur de Limoges et du Louvre acquiert le domaine qui devint Marquisat de Gambais.
- La ville de Provins.
Provins est une commune française située à soixante-dix sept kilomètres au sud-est de Paris, sous-préfecture du département de Seine-et-Marne dans la région Île-de-France.
Provins est une ville particulière, une ville entrainée par son "fief si personnel" coloré d'un trait, d'un atout si caractéristique. Provins est devenue, avec le temps, une cité Médiévale qui vit, qui rit, qui coure, au gré des spectacles, des touristes, des animations en tout genre. Un peu à l'écart de se fief, la ville continue son chemin vers autre chose, vers un chemin plus calme, reposé...
- Le Château de Saint-Jean-de-Beauregard.
Le château de Beauregard est un château français situé à Saint-Jean-de-Beauregard dans l'Essonne.
François Garnier, écuyer, se rend acquéreur du domaine en 1638. Ensuite, le domaine passe dans les mains de Charles Doullet de Neufville, puis de Gabriel de Mehertin de Saint Pierre, puis en 1669 d'un conseiller du Roi, Pierre de La Mouche.
- Le Château du Saussay.
Le château du Saussay est un château français situé dans la commune française de Ballancourt-sur-Essonne, dans l'ancienne province du Hurepoix, aujourd'hui département de l'Essonne et la région Île-de-France, à trente-sept kilomètres au sud de Paris.
Propriété d'Olivier Le Daim, barbier de Louis XI au XVe siècle, le château fut brûlé par les Espagnols en 1592 pendant les guerres de religion.
Le propriétaire obtint d'Henri IV par lettres patentes, l'autorisation d'entourer d'eau le château qu'il reconstruisit dans le style Louis XIII (brique et pierre). Propriété de Me de Gaumont, parlementaire, il fut transmis par les femmes aux familles Bragelongne, Canclaux et enfin Colbert au début du XIXe siècle.
En 1735, un pavillon fut construit en vis-à-vis de celui qui existait déjà et à l'identique.
- Le Château de Sceaux.
Au XVe siècle, il y a à Sceaux un manoir : en 1470, le seigneur de Sceaux, Jean II Baillet (1400-1477), maître des requêtes ordinaires de l'hôtel du roi, y reçoit le roi Louis XI et la reine Charlotte de Savoie avec toute la Cour. Il avait réuni les trois fiefs formant la Seigneurie de Sceaux; Ceaux-le-Petit, l'Enffermerie de Saint-Germain-des-Près et Ceaux-le-Grand. Cette dernière terre lui venant de son père, Pierre Baillet, premier seigneur de Sceaux, qui l'avait achetée à Alix de Vaubouillon
- Le Château de Théméricourt.
Le château de Théméricourt, probablement construit par Philippe de Théméricourt dans la seconde moitié du XVe siècle, a conservé son plan initial à deux corps de logis disposés en équerre et flanqués de quatre tourelles coiffées de toits en poivrière. Ce plan en équerre répond au souci de rejeter les communs dans des bâtiments isolés. Les façades nord et ouest du château ont gardé leur aspect originel d’une grande sévérité.
- Le Château de Thoiry.
Le château de Thoiry est un château de la Renaissance situé à Thoiry dans le département des Yvelines, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Paris.
À partir de 1559, Raoul Moreau (†1583), trésorier de l'épargne du roi Henri II puis intendant des finances, commande au maître maçon Olivier Ymbert, originaire de Saint-Léger-en-Yvelines et qui avait travaillé quelques années auparavant au château de Rambouillet, la construction d'un château à Thoiry, sur un site occupé depuis le XIIe siècle.
- Le Domaine de Villarceaux.
Le domaine de Villarceaux se situe à Chaussy, village du Vexin français dans le Val-d'Oise, à 5 km de Maudétour-en-Vexin, 8 km de Magny-en-Vexin et à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Paris. Le domaine fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 10 septembre 1941.
Au XII-XIIIe Siècle, le domaine de Villarceaux situé au fond d’une vallée, au cœur du parc naturel régional du Vexin français se résumait à un habitat fortifié qui avait toutes les caractéristiques du fief aristocratique de l’ancien régime. Au XVe Siècle, le domaine, qui fait partie de la ligne de défense du royaume de France est reconstruit en pierre. C’est ainsi que le château du bas est fortifié. Au XVIe Siècle, le domaine s’agrandit et devient une vaste propriété agricole mais aussi une résidence de plaisirs : les douves deviennent des bassins d’agrément, les multiples sources alimentent les jeux d’eaux
- Le Château-fort de Vincennes.
Le château de Vincennes est une forteresse située sur la commune de Vincennes, à l’est de Paris, en France, érigé du XIVe siècle au XVIIe siècle. Il est le plus vaste château fort royal français subsistant et, par la hauteur de son donjon, 50 mètres, il est une des plus hautes forteresses de plaine d’Europe.
Le château ne doit pas être confondu avec le fort de Vincennes voisin.
La forteresse est située à proximité de la capitale, à environ 8 km de l'île de la Cité. Contrairement à la majorité des châteaux forts, elle n'est pas implantée sur une butte, une colline ou sur le haut d'une falaise, mais sur un plateau calcaire. Elle n'est pas à proximité d'une rivière, juste d'un petit cours d'eau, le ru de Montreuil, ruisseau descendant du plateau de Montreuil qui alimentait les douves dont le trop-plein se dirigeait ensuite vers Paris et se jetait dans le lac de Saint-Mandé.
Cette forteresse a plus l'apparence d'une vaste cité fortifiée ou d'une « résidence royale fortifiée » que d'un château fort. Si ce château n'est à l'origine qu'un simple manoir, il a très tôt vocation à abriter, pendant de longues périodes, la famille royale avec toute sa domesticité, une partie de l'administration du royaume et l'armée nécessaire pour sa défense.
Le château ne doit pas être confondu avec le fort de Vincennes voisin.
La forteresse est située à proximité de la capitale, à environ 8 km de l'île de la Cité. Contrairement à la majorité des châteaux forts, elle n'est pas implantée sur une butte, une colline ou sur le haut d'une falaise, mais sur un plateau calcaire. Elle n'est pas à proximité d'une rivière, juste d'un petit cours d'eau, le ru de Montreuil, ruisseau descendant du plateau de Montreuil qui alimentait les douves dont le trop-plein se dirigeait ensuite vers Paris et se jetait dans le lac de Saint-Mandé.
Cette forteresse a plus l'apparence d'une vaste cité fortifiée ou d'une « résidence royale fortifiée » que d'un château fort. Si ce château n'est à l'origine qu'un simple manoir, il a très tôt vocation à abriter, pendant de longues périodes, la famille royale avec toute sa domesticité, une partie de l'administration du royaume et l'armée nécessaire pour sa défense.
Le château de Voisins est un château construit entre 1903 et 1906 à Saint-Hilarion, dans les Yvelines, par l'architecte René Sergent et le paysagiste Achille Duchêne
On trouve trace de Visiniolo (Voisins) dans le Précepte du Roi Pépin de 768, concédant au monastère de Saint-Denis la forêt d'Yveline, dont Rumbelitum (Rambouillet) et d'une famille de ce nom au XIIIe siècle.
À cet emplacement, se trouvait, dès le XIVe siècle un simple manoir au cœur d'un petit domaine.
Passant de mains en mains le domaine est remanié et agrandi, en particulier à la fin du XVIIIe siècle par le marquis de Croismare, ancien gouverneur de la Petite Écurie de Louis XV, qui fit embellir cette « méchante campagne » par Ange-Jacques Gabriel, dont les plans signés et datés de 1779 sont conservés dans les archives du château.
On trouve trace de Visiniolo (Voisins) dans le Précepte du Roi Pépin de 768, concédant au monastère de Saint-Denis la forêt d'Yveline, dont Rumbelitum (Rambouillet) et d'une famille de ce nom au XIIIe siècle.
À cet emplacement, se trouvait, dès le XIVe siècle un simple manoir au cœur d'un petit domaine.
Passant de mains en mains le domaine est remanié et agrandi, en particulier à la fin du XVIIIe siècle par le marquis de Croismare, ancien gouverneur de la Petite Écurie de Louis XV, qui fit embellir cette « méchante campagne » par Ange-Jacques Gabriel, dont les plans signés et datés de 1779 sont conservés dans les archives du château.
Le Monde des Châteaux
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