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samedi 8 février 2020

L'enceinte de Montoire














La ville se trouve sur le flanc Ouest de son département, le Loir-et-Cher, proche de Blois, de Tours et du Mans, trois départements, trois noms, trois entitées. Sur un axe Chartres-Saumur, positionnée entre les régions naturelles du Perche au Nord et la Petite Beauce du Sud, Montoire est assise sur le Loir, un sous-affluent de la Loire. Existant depuis des temps reculés, les romains au moyen-âge, la commune devient ensuite le siège de la seigneurie de Montoire qui dépendait du comte de Vendôme. Nihard devient seigneur de Montoire en 1033, en 1075 il construit le donjon rectangulaire qui est ensuite entouré par une double enceinte.










Localisation : Montoire, 
département du Loir et Cher

Région : Centre-Val-de-Loire







Montorium Castrum seu Promontorium, tel était son nom autrefois
On affirme que sa fondation datait de l'époque de Jules César, la forteresse de Montoire appartint aux comtes de Guînes, construite vers la fin du IV siècle, ruinée par les Normands, elle fut réparée par les comtes de Guînes. On avait adossé des fortifications considérables à cette tour, Philippe Auguste s' empara du château de Guînes en 1200.

Le château de Montoire devient ensuite le siège de la seigneurie de Montoire qui dépendait du comte de Vendôme. Nihard devient seigneur de Montoire en 1033, en 1075 il construit le donjon rectangulaire qui est ensuite entouré par une double enceinte. Donjon en pierres actuel subit un seul remaniement vers le milieu du XIIe siècle pour passer de 2 à 3 niveaux.

Le château féodal est établi sur un mamelon isolé qui se détache en saillie sur la ligne des collines dont la vallée du Loir est bordée et au pied duquel cette rivière coule du côté du nord. Au midi et à l'ouest un ravin profond et de larges fossés en défendent l'accès. Les flancs de ce mamelon sont très escarpés, ils étaient revêtus de deux enceintes de murailles dont la dernière entourait un donjon carré qui subsiste presqu'entier. On y montait par un sentier creusé dans le roc qui serpentait à travers une double ceinture de tours et de remparts, les restes de la porte de la première enceinte se voient encore à peu près au tiers de la hauteur.
La plus grande partie des fortifications, surtout du côté Sud, est moins ancienne, leurs reconstructions datent du même temps que celle du château de Lavardin. Au pied de la montagne, du côté Nord, jaillit une belle fontaine dont les eaux s'étendent en nappe sous une voûte de rochers.
Ce château tire son origine d'une fortification édifiée au IXe siècle par Landry Sore, un Missus Dominicus du roi Charles II le Chauve, afin de protéger les populations contre les attaques des Normands. Côté Est, une muraille partait du château et descendait jusqu'au Loir, côté Ouest la ville était protégée par un fossé.

Au XIVe siècle, le dispositif défensif est renforcé par des tours et une muraille, celle-ci allait jusqu'au Loir et renfermait la ville primitive. Dans la seconde moitié du XIVe siècle, le comte Jean VI achève les fortifications et fait creuser un fossé sur la rive droite du Loir pour protéger la ville neuve.

La forteresse était puissante avec un donjon central solidement retranché.

La deuxième enceinte possédait quatre tours dont deux étaient le point de départ de l'enceinte. La tour placée au Sud-Ouest par rapport au donjon devait être l'entrée de la basse-cour. Il restait dans cette enceinte à l'emplacement de cette tour, une entrée cavalière de 1.52m de large sur 2.80m de large qui mène sur sa droite à un escalier au chemin de ronde et à le salle située sous l'entrée.

Continuer page page 37  https://gallica.bnf.fr/










La ville de Montoire


L'historique de la ville

Description du château, de l'enceinte page 34 



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samedi 28 décembre 2019

L'enceinte d'Armentières-sur-Ourcq











Armorial de la France Ancienne



Armentières est située au cœur de la triangulation Soissons, Reims, Meaux à deux pas de la forêt de Retz et du département de la Marne. Placée au Sud de son département, l'Aisne, en région Hauts-de-France, Armentières a été édifié au début d'un vallon surplombant la vallée, elle a été place forte au XIIe siècle. La terre d'Armentières portait autrefois le titre de Vicomté. Actuellement il reste les magnifiques ruines de son château seigneurial.









Localisation :  02210 Armentières-sur-Ourcq, 
département de l'Aisne.

Région : Hauts-de-France (Picardie)

Année de construction : XIIe siècle  





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Armentières est située au cœur de la triangulation Soissons, Reims, Meaux à deux pas de la forêt de Retz et du département de la Marne. Placée au Sud de son département, l'Aisne, en région Hauts-de-France, Armentières a été édifié au début d'un vallon surplombant la vallée, elle a été place forte au XIIe siècle. La terre d'Armentières portait autrefois le titre de Vicomté.
Actuellement il reste les magnifiques ruines de son château seigneurial.

Château féodal de la fin du XIIe siècle armé sur la face Sud d'un grand corps de logis et quatre grosses tours en saillie aux quatre coins ou, à l'angle Nord-Ouest du château, se dresse une grosse tour construite au début du XVIe siècle. Ce château a terriblement souffert de la guerre de 1914-1918 et les ruines sont impressionnantes. Une campagne de restauration a eu lieu en 1981.

Composé d'un petit logis rectangulaire flanqué par quatre tours à, ses angles, Armentières disposait d'une enceinte pourvue d'échauguettes sur contreforts qui se referme sur son grand côté, délimitant une petite cour. La porte s'ouvre entre deux hautes tourelles sur contreforts; elle était protégée par un simple assommoir. Les tours, circulaires, n'étaient pas voûtées; leurs archères possédaient un ébrasement intérieur très ouvert, donnant sur une niche rectangulaire. Dans les deux plus grosses tours, un escalier rampant dans l'épaisseur du mur desservait les niveaux. Quant au logis lui-même, il s'éclairait par de jolies et nombreuses fenêtres à trilobés. Une maison-forte est signalée en ce lieu entre 1249 et 1252, les restes actuels doivent cependant être postérieurs d'une cinquantaine d'années. Ce château, comme celui de Nesles et d'Aulnois près de Laon avait les pieds dans un marais et était baigné dans des eaux renfermées par de larges fossés. La façade était une partie des plus fortifiées mais une des plus attaquable, elle fut donc protégée par la suite par une porte crénelée de mâchicoulis qui formait comme un ouvrage avancé du château mais complétement isolé par des fossés. Ce petit fort semble être du XIVe siècle et rappelle la porte de la chartreuse de Bourg-Fontaine.


Historique

La maison-forte serait citée dès le milieu du XIIIe siècle. En 1297, cet arrière-fief relève de celui de la tour d'Ambleny. Elle passe au milieu du XIVe siècle aux Cramaille et au XVe siècle elle est la possession des Juvénal des Ursins. Elle est profondément remaniée, au XVIe siècle par Eustache, Vicomte d'Oulchy, qui a épousé en 1588 l'héritière. Elle échoit aux Conflans d'Armentières à partir du XVIIe siècle. Transformée en ferme à cette époque, elle est épargnée par la Révolution. Du fait du relèvement du niveau des eaux, le château devient alors inhabitable et il est, au XIXe siècle, transformé en étable. En fort mauvais état dès le début du XXe siècle, il est définitivement abandonné à la suite des combats de 1918 qui ont ruiné les toitures.

La terre d'Armentières portait autrefois le titre de vicomté. ses magnifiques restes du château seigneurial nous remémorent son histoire. Ce village est la patrie de Simon d'Armentières, d'abord prieur de Coincy, puis de la Charité, et enfin cardinal du titre de la Ste-Balbine, mort en 1296, et de Charlotte Juvénal des Ursins, auteur d'une paraphrase de l'Epitre de St Paul aux Hébreux, vivant au XVIe siècle. Culture en 1760, 10 charrues produisant 3/4 froment, 1/4 méteil et seigle, 100 arp. de prés, 10 arp. de bois, 10 arp. de marais et bruyères.

Au début du XVe siècle, le château est très remanié pour plus de confort.
En 1449, Jean II Juvénal des Ursins achète le château. ce personnage important (Avocat général au parlement de Poitiers puis chapelain du Roi Charles VII et enfin archevêque de Reims), ne semble pas avoir modifié le château. N'étant que très peu habité par son illustre propriétaire, ses murs se dégradent.
Au début du XVIIe siècle, le château et la terre sont vendus à Conflans, Vicomte d'Oulchy. Il semble que la fortification soit en mauvais état.
Entre 1914 et 1918, le château est "abîmé, pratiquement ruiné".
En 1989, le château est classé aux Monuments Historiques.
Au XXIe siècle, la découverte du site est libre à l'extérieur. Le château est une propriété privée non visitable.
Depuis 2004, il bénéficie d'études techniques et de travaux de sauvetage avec le concours de l'État et du département de l'Aisne. 









La ville d'Armentières-sur-Ourcq


Sur la base Pop-culture


Le château 


Tiré d'un document de Jean Mesqui page 192


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Tourisme Aisne

samedi 3 août 2019

Le château de Coulommiers













Cité briarde à l’histoire riche et mouvementée ancrée au cœur de la Brie, Coulommiers est traversée en son centre par le Grand Morin, elle fut élevée très tôt. D'origine gallo-romaine ses remparts et son château furent construits par Clovis. Posée dans la vallée du Grand-Morin, proche de Provins et Meaux, à deux pas de Crécy-la-Chapelle, elle fut place forte. 






Localisation :  77120, Coulommiers
département de la Seine-et-Marne


Région : Ile-de-France






Le château de Coulommiers, dit aussi château de Colombières, est un château, aujourd'hui disparu, qui se situait sur la commune de Coulommiers, à l'emplacement de l'actuel Parc des Capucins.
Le château fut reconstruit au XVIIe siècle par Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville. Le contrat de maçonnerie pour la reconstruction du château avait été signé le 3 janvier 1613 suivant les dessins de Salomon de Brosse. Les travaux seront suivis par Charles Du Ry, collaborateur de Salomon de Brosse, assisté de son fils Mathurin. Au XVIIIe siècle, entre 1736 et 1738 intervient la démolition du château par le duc de Luynes, car le bâtiment avait été construit dans une zone peu salubre. Seuls demeurent les pavillons des gardes construits suivant les plans de François Mansart, le porche d'entrée du château au fond de la cour, ainsi que les portiques concaves qui étaient situés dans les angles du fond de la cour, construits selon les plans de Salomon de Brosse. En 1629 meurt Catherine de Gonzague (1568-1629), duchesse de Longueville. Les travaux du château ne sont pas terminés, puisque l'aile d'entrée reste à bâtir.
D'origine gallo-romaine, Coulommiers fut réunie près de dix fois au domaine royal. Son histoire est aussi étonnante que mouvementée. Ses antiques remparts et son château furent reconstruits par Clovis ; en 1612, Catherine de Gonzague y fit édifier un palais. Ernest Dessaint, Maire de Coulommiers (1923) expliquait en ces mots : « l'origine de notre ville a de tout temps fait l'objet de controverses passionnées de la part des différents auteurs qui se sont occupés de notre histoire locale ». Les uns, tels le docteur Pascal, dans son ouvrage intitulé Histoire de Seine-et-Marne, Achille Viré et Anatole Dauvergne, dans leurs études sur la ville, lui refusent une origine antérieure à la conquête de la Gaule par Jules César. Les autres, au contraire, Michelin, Histoire du département de Seine-et-Marne, et Martial Cordier, Histoire manuscrite de Coulommiers, prétendent qu'elle existait lors du passage de César et de ses légions en Brie, et Cordier affirme même que son nom lui fut donné par les troupes du conquérant qui, de passage ici, dénommèrent Castrum Columbarium (château colombier), une tour garnie de nids de pigeons, d'où par la suite, Colombarius, Collomiers et Coulommiers.


Les architectes et maître-maçon qui ont participés au chantier

François Mansart (architecte)
Salomon de Brosse (architecte)
Charles Du Ry (maître-maçon)
Adrien Flament (maître-maçon)
Marin Flament (maître-maçon)

Début des travaux: 1613, Achèvement: 1649



Le 3 janvier 1613 Catherine de Gonzague et de Clèves, veuve du prince Henri d'Orléans, duc de Longueville, signe le contrat de maçonnerie pour la reconstruction du château de Coulommiers. Les dessins du château sont de Salomon de Brosse. Les travaux seront suivis par Charles Du Ry, collaborateur de Salomon de Brosse, assisté de son fils Mathurin. 1629 Mort de Catherine de Gonzague [1568-1629], duchesse de Longueville. Les travaux du château ne sont pas terminés. L'aile d'entrée reste à bâtir. début 1631 Henri II d'Orléans, duc de Longueville, fils de Catherine de Gonzague, choisit de terminer les travaux et confie la direction des travaux à François Mansart, sur un plan plus modeste. 27 mai 1631 Henri II d'Orléans passe le marché des travaux au maître maçon Charles Du Ry qui avait travaillé pour Salomon de Brosse. courant 1649 Mansart intervient de nouveau dans deux galeries basse et haute et dans le pavillon antérieur droit où il installe un appartement de bains et au-dessus, un salon à l'italienne.


Le château neuf
Ce château fut assis sur un plan carré de 2170 mètres entouré de large fossés de 24 m. Ces fossés se prolongeaient vers l'Est et se réunissaient à l'extrémité d'un parterre carré de 1 hectares 75. Un pont de 8 mètres de large donnait accès au château côté Ouest. Un autre pont, placé sur le fossé parallèle, reliait le château et le parterre et, pour finir, un pont-levis fermait l'entrée principale, le château devenait imprenable et bloquait son entrée.
Ce château se composait de quatre pavillons principal reliés par deux galeries allant d'Ouest en Est, l'on peut en retrouver une autre et une autre au fond à l'Est relié par une autre galerie de face ayant au centre, un pavillon muni d'un dôme angulaire comme ceux dits de l'horloge, au Louvre et au Tuileries. Quatre autres pavillons en demi-saillie sur galeries latérales flanquaient les pavillons principaux à l'extérieur. La longueur des galeries y compris l'épaisseur des pavillons étaient de 85 mètres, leur épaisseur étaient de 15 mètres.
Le bâtiment de face, au fond, mesurait 54 m de long sur 15 m.
Dans chaque encoignure qui joignait le bâtiment de face avec les deux ailes, se trouvaient, au premier étage, deux balcons circulaires praticables que l'on retrouvait au bout de chaque aile et qui donnait sur le flanc intérieur des pavillons d'entrée.


Lire la suite page 608  https://gallica.bnf.fr/ark








La ville de Coulommiers

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Coulommiers sur la base Pop-culture
https://www.pop.culture.gouv.fr


Le château
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Coulommiers

Le château-fort
http://maintenance-et-batiment.blogspot.com

Le château neuf (page 603) et le vieux château
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148


Histoire de la ville, page 83

Les seigneurs de Coulommiers, page 60
 https://books.google.fr/books


Des photos du château
https://structurae.net/chateau-de-coulommiers



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Les places fortes entourant l'Ile-de-France

Châteaux, château-fort, donjons
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Le monde des châteaux































mardi 19 février 2019

Les Châteaux de Seine-Saint-Denis, 93























Département de la Seine-Saint-Denis, 93 









Aulnay-sous-bois

- Le Château du Trianon

- Le Château Chansonnia

- L'ancien Château d'Aulnay



L'histoire, la ville




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Bagnolet

- Le Château de Gournay

- Le Château de l'étang



L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Bondy

- Le Château est construit à partir de 1695 par Claude Tribouleau, il sera démoli vers 1850, seul subsistant les deux bâtiments situés à l'entrée qui furent détruits vers 1900.

- Le Château de la Garenne (1720)


L'histoire, la ville



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Clichy-sous-Bois

- Le Château de la Terrasse



- Le Château de Clichy-sous-Bois ou le Château du Vicomte de Puységur (IMH).
Clichy-sous-Bois, 1790, le Château fut édifié à l’emplacement de l’ancienne commanderie des Templiers, le bâtiment fut partiellement détruit lors de la guerre de 1870. Réaménagé et appelé « château de la Terrasse », il brûla partiellement en 1999. Il ne reste aujourd'hui qu'une des deux ailes du bâtiment et la municipalité a construit la bibliothèque municipal dans son parc.







L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Drancy

- Le Château et le Parc de Ladoucette

- L'ancien Château
Au XVIIe siècle, sur le domaine du Grand-Drancy, un château se construit en 1533.
En 1650, le château aurait été construit à l'emplacement de l'hôtel seigneurial cité en 1585 par Guillaume Perdrier, seigneur de Bobigny. Le château serait de nos jours occupé par la mairie.


L'histoire, la ville


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Epinay-sur-Seine

 Le premier hôtel seigneurial d'Epinay fut cité en 1428 
château dit "du roi d'Espagne" fut vendu à la commune 
par Alphonse XIII son petit-fils. En 1960 il devint l'Hôtel de ville d'Epinay.




- Le Château du Marquis de Terrail


L'histoire, la ville



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Gagny

- Le Château de Maison-Blanche
Construit vers 1575, aurait donné son nom au second hôpital psychiatrique.

- Le Château de Maison Rouge

- Le Château de Montguichet

- Le Château de François Normand

- Le Château du Chesnay




L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Gournay-sur-Marne

- Le Château de Gournay (1667, Hôtel de ville actuel, IMH)




En 1107, le château-fort, tenu par Gui le Rouge, comte de Rochefort,  relevait du comté de Corbeil. Le château, situé sur une île, à partir de  1112, le château-fort sera intégré dans le domaine royal et confié à des fidèles ou proche du roi. On ne connait aucun vestige de cet édifice.


L'histoire, la ville

Le patrimoine


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L'Ile Saint-Denis

En 988, Hugues Baseth aurait possédé un château en bois dans la plus grande des trois îles sur la Seine, celle du Châtelier, les deux autres îles ayant pour nom Saint-Denis et des Vannes. Cet emplacement stratégique revint par arrangement matrimonial à Bouchard-le Barbu, ce qui lui permis de contrôler la navigation sur le fleuve. A son avènement, le roi Robert II le Pieux repris le château mais en compensation donna à son propriétaire la colline dite de Mont Morency qui devient fief de cette célèbre famille.


L'histoire, la ville



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La Courneuve

- Le Château Champourtel aurait été bâti vers 1650 à l'emplacement du manoir de la seigneurie de l'abbaye de Saint-Denis.


L'histoire, la ville



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Les Lilas

- Le Château aurait été construit vers 1690 et son entrée se faisait sur le chemin de Ménilmontant par une grille inscrite dans une demi-lune. Tous les bâtiments ont disparus en 1819, sauf la chapelle qui existait encore en 1838.


L'histoire, la ville



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Le Raincy

- Les tourelles

- Le Château du Raincy.
En 1633, « la terre des Rincis » fut achetée par Jacques Bordier, conseiller d'État et intendant des finances du roi Louis XIII, qui fit construire en 1640, à l'emplacement d'un prieuré tombé en ruine, un château d'une magnificence royale. Le château fut démoli en 1819, à l’exception d’un corps de bâtiments qui subsistera.







L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Livry-Gargan

- Un premier château fut construit en  1113 et rasé en 1819.

- Le Château de la forêt (1864, c'est l'actuel musée de l’histoire locale)





L'histoire, la ville

Le patrimoine




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Montfermeil

- Le Domaine Seigneurial de Montfermeil

- Le Château des Cédres

- Le Château, le Petit Château

- Le Château de Maison-Rouge (Détruit en 1956)

- En 635, le domaine du Petit Château, ou maison de Bourlon voit le jour. Le grand château (le Grand Château sera démoli en 1929) et le petit château est aujourd’hui un établissement pour adolescents sous tutelle de l’Aide Sociale à l’Enfance.


L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Montreuil-sous-Bois

- 1660, le Château de Tillemont, est bâti sur une propriété de ce nom mentionnée au XIIIe siècle relevant de l' abbaye de Livry.

- Le Château de Montreau
En 1550 il fut construit à l'emplacement de la seigneurie qui portait son nom, le château est reconstruit à plusieurs reprises. Il est démoli en 1870 car il gêne les tirs du fort de Rosny. Il n'en reste que les deux bâtiments d'entrée de l'ancienne propriété acquise par la municipalité en 1932 .C'est actuellement le Musée de l'histoire vivante" situé dans l'édifice construit à ce usage et représenté ci-contre.


L'histoire, la ville




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Neuilly-sur-Marne

- Le Château Guérin
Le château est actuellement le conservatoire de musique ou le commissariat de police.

- Le Château de Ville-Evrard


L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Neuilly-Plaisance

- La Maison de Napoléon III

- Le Château d'Avron, 1645.


L'histoire, la ville




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Noisy-le-Grand

- 1675, le Château fut construit sur le Domaine de Villeflix, au XVIIIe siècle.


L'histoire, la ville



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Noisy-le-Sec

- 1775, le Château édifié pour Mathieu Louis de Mauperché, puis revendu en 1844, il fut démoli pour permettre le percement des rues de Châlon et Tripier.


L'histoire, la ville



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Pantin

- 1650, Ancien manoir seigneurial supposé construit vers 1650, le château dit " de la seigneurie"


L'histoire, la ville



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Romainville

- Le Pavillon du Château

- En 1630, Le Château est construit pour Nicolas de Quelen, actuellement un bâtiment à usage social.




L'histoire, la ville

Le patrimoine



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Saint-Ouen

- Le Château de Saint-Ouen (MH) ou le Château de Rohan-Soubise



L'histoire, la ville

Le patrimoine
Le Château de Boisfranc, le Château de Cayla, puis le Château de Saint-Ouen:



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Sevran


- Le Château de la Fossée

- Le Château de Sevran ***

- Le Château du Fayet


L'histoire, la ville





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Stains



- Le Château de Stains

L’édifice, construit vers 1720, gravement endommagé lors de la guerre de 1870, il n'en subsistent que les communs et écuries acquises en 1883 par la commune. 
Actuellement mairie, il existait un second château, celui du fief de la Motte détruit en 1819, il pourrait avoir été bâti à l'emplacement de l'ancien hôtel seigneurial attesté en 1496. 


L'histoire, la ville

Le patrimoine




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Tremblay-en-France


- les Châteaux du Petit et du Grand Tremblay (XIIe siècle)

- Le Château de Tremblay (1140)

- Le Château de la Queue, nom d'un fief avec manoir mentionné dans l'état des biens de l'abbaye de Saint-Denis, daté de 1673. Il aurait été construit vers 1660 par la duchesse de Picquigny sur le fief de la Tournelle et fut appelé le château bleu. Il est décrit comme château.


- Le Château Bleu dit château des Tournelles



L'histoire, la ville

Le patrimoine





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Vaujours


- Le Château Mathieu

- 1725, le château précédent sera reconstruit et modernisé par le baron Jean-Philippe de Maistre en 1770 dans le style néo-classique tel qu'il est de nos jours. C'est actuellement l'un des plus grands établissement privé multidisciplinaire - primaire, secondaire, professionnel, agricole - du département.

- L'ancien château de Vaujours se trouve être le lycée Fénélon. (IMH) 








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Vert-galant


C'est vers 1750 qu'aurait été construit le château du Vert-Galant sur le domaine du même nom. Il sera restauré avant 1900.


L'histoire, la ville
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vert_galant


Le patrimoine
https://patrimoine.seinesaintdenis.fr




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Villemonble


- Le Château seigneurial de Villemomble

Un premier château seigneurial est attesté en 1526. En 1639, il est décrit comme château , C'est l'actuel mairie.













L'histoire, la ville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Villemomble
http://www.villemomble.fr/

Le patrimoine
https://www.tourisme93.com





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Villepinte


- Le Château rouge

- Le Château Picpus

- Le Château Bignon

- Le Château de Villepinte.
En 1640, le château de villepinte, est appelé sous le nom de château Bignon.



L'histoire, la ville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Villepinte
https://ville-villepinte.fr/

Le patrimoine
http://www.tourisme93.com/document.php








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Villetaneuse


- Le Château de Villetaneuse

Le Château aurait été édifié vers 1650 époque où la seigneurie fut érigée en comté au profit de Louis Girard. Ce château aurait été peint par Utrillo "le château de villetaneuse". Le château de Villetaneuse aurait été construit à l'emplacement de l'hôtel seigneurial ainsi décrit en 1741 et démolit vers 1872.


L'histoire, la ville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Villetaneuse
http://www.mairie-villetaneuse.fr/





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Forêt de Bondy






- Le château du Raincy




- Les Châteaux de Seine-Saint-Denis











Un chemin vers les châteaux....



Les fiches historique de châteaux
https://unchemindeliledefrance.blogspot.com




- Châteaux, château-fort, donjons, leurs racines...


- Les Châteaux visitables, château-fort ...