Chevillé entre le Parc Naturel du Véxin Français et la Seine, Meulan est placé au Nord du département des Yvelines, à la limite départementale du Val d'Oise, la ville fait face aux Mureaux. Meulan, au Moyen-âge, était entouré de places fortes; Mantes, Aincourt, Pontoise, Poissy, ..., elle fut capitale des Comtes de Meulan et fut réunie au domaine royal au XIIIe siècle par Philippe Auguste. Fortifiée dès le XIe siècle, elle possédait un château et les îles attenantes.
département des Yvelines
Région : Ile-de-France
Construction : XIe siècle
Sous le règne des comtes de Meulan, une forteresse domine la ville.
L'ensemble de ces fortifications offrait, dans son plan, un vaste triangle irrégulier flanqué de quatre tours principales.
Au milieu de cette enceinte s'élevait le Fort, deux enceintes défendues par un fossé dont les crêtes étaient couronnées par des palissades qui protégeaient le chemin de ronde sur lequel étaient postés les archers, les chemins de ronde partent de la citadelle et sillonnent la colline.
Les fortifications de Meulan avaient été détruites sur ordre de Duguesclin qui appelé dans le midi de la France craignait quelque retour offensif de la part du roi de Navarre. Cependant le roi Charles V convaincu que les troubles de Paris ainsi que le pillage du Vexin et de l Ile de France n' avaient été que le résultat de la négligence apportée à la conservation des places fortes de la Normandie et surtout de la citadelle de Meulan, résolut de remettre cette dernière en état de défense pour la guerre de l' époque avec ses îles qui la rendaient maîtresse de la navigation et ses deux ponts qui lui permettaient d'opérer sur les deux rives du fleuve. La ville de Meulan était en effet une position bien importante, Duguesclin qui en connaissait la solidité ne put qu' approuver la résolution du monarque.
Les hauteurs septentrionales de la ville de Meulan étaient occupées à l’Époque médiévale par le château des comtes de Meulan qui firent de cette ville une place fortifiée dès le XIe siècle. Le château des comtes de Meulan est traditionnellement attribué au comte Robert II (1166-1204) (Trombetta 2007 : 306) mais il est mentionné dès 1024 dans un acte de Dreu (Bourgeois 1995 : IV, 1, n° XIV). L’emprise de son domaine n’est pas connue mais deux portions du rempart de la basse-cour ont été mises au jour, l’une dans un sondage réalisé par P.-J. Trombetta et l’autre dans l’emprise de cette fouille. Ce rempart est détruit – après l’abandon du domaine castral en 1204 – par l’activité de carrière dans le secteur. Un front de taille et des blocs de calcaire en position secondaire présentent des traces d’outil témoignant de leur exploitation.
La ville de Meulan était très considérable. Bien que fermée de murailles et protégée par une double forteresse, son enceinte était telle, disent les chroniques de l' époque, qu' il eût fallu au moins 3,000 hommes pour la défendre.
Au début de l’Époque moderne:
Une nouvelle occupation reprend l’emplacement de celle d’Époque médiévale après un hiatus d’un peu plus d’un siècle. Elle est composée de maisons et de caves, connues dans les sources historiques. Seuls trois bâtiments ont été identifiés mais leur nombre devait être plus important avant leur récupération totale. L’espace est à nouveau fortifié par l’ajout d’une enceinte -probablement sous le règne d’Henri IV. Un tronçon de cette enceinte a été découvert dans l’emprise de la fouille. D’orientation différente des murs environnants, il est récupéré lors de l’installation du couvent.
Le couvent des Annonciades:
La construction du couvent est commencée dès 1639 suite aux lettres patentes émises par Louis XIII. Il sera recouvert par l’église de 1682. Il est notamment composé d’un bâtiment à la facture très soignée, témoignant peut-être d’une première église au plan très simple malgré le soin apporté à sa construction. Un projet d’extension du couvent est lancé dès 1669.
Les remparts de la ville:
Il est construit au XVIe siècle et partiellement détruit afin d’agrandir la basse-cour vers l’est, après l’accord des échevins de la ville. Les religieuses intègrent la construction d’une nouvelle enceinte dans celle des nouveaux bâtiments. Ces derniers abritent poulaillers et colombier et d’autres pièces aux fonctions indéterminées. L’agrandissement de la basse-cour entraîne la construction, dans l’emprise du fossé de l’enceinte du XVIe siècle, d’une structure coudée, voûtée et souterraine à la fonction indéterminée. Celle-ci est précisée par un rapport d’estimation de 1792 comme vacherie, fournil, cave ou laiterie. À l’ouest, est ajouté un bâtiment de grande dimension dans l’axe de l’actuelle maison Condorcet. Il abrite toutes les fonctions conventuelles en attendant la réalisation des derniers bâtiments.
Avant le Xe siècle, un pont de bois reliait Meulan à l'actuelle Ile du Fort ; il était prolongé par un autre pont de bois de l'autre côté de l'île et se situait environ à 500 pas du Petit Pont actuel. Ce dernier a été construit à la fin du Xe siècle, sur des fondations de pierre et avec une tête d'ouvrage fortifiée, par les comtes de Meulan qui y ont installé des péages fort rentables, attestés dès la fin du Xe siècle par une charte du comte Hugues Ier de Meulan.
En 1189, les bénéfices du péage sont cédés à la ville par les comtes.
L'enceinte fut divisée en trois parties, la première, vers la ville, contenaient les tentes du roi de France de la reine et du duc de Bourgogne, d' un autre côté, en aval de la rivière, furent dressées les tentes du roi d' Angleterre et de ses deux frères; les ducs de Clarence et de Glocester, entre ces deux parties s' étendait un champ clos entouré de fossés et fortifié de palissades tellement fait qu' on ne pouvait entrer que par trois lieux. A chaque entrée il y avait de bonnes barrières gardées chacune par 50 hommes armés. Il y avait des guérites suspendues aux flancs du rempart.
Après l'édification de la nouvelle forteresse, de 1365 jusqu'en 1379, la ville de Meulan conserva ses murailles, ses portes fortifiées mais la plus grande force de résistance fut concentrée dans l' île Saint-Nicaise. L' ensemble de ces fortifications offrait dans son plan un vaste triangle irrégulier flanqué de quatre tours principales. Au milieu de cette enceinte s' élevait le Fort. C' était un grand bâtiment carré percé.
On lit dans un compte des réparations faites au fort de Meulan;
"Ftem pour tirer et mener jusqu'à la rivière de Seyne et dans un batel une grosse bombarde de fer avec XXXVI pierres appartenant à icelle bombarde il y a fallu XXX hommes lesquels y ont vaqués par l' espasse d un jour entier et auxquels a été payé à chacun XVI deniers pour leurs dépens icelle besocgne faicte par ordre et commandement de messire Richard Marbury chevalier capitaine dudit Meullent pour noble homme messire Jehan de Hanford bailli de Mantes le XXVIJe jour de juillet M CCCC XXXI Collection Lévrier X 2"
Au XVe siècle le comte de Salisbury était seigneur de Meulan, il fit construire de nouveaux bastions à la pointe de l'île, dans ces travaux défensifs on reconnaît l'influence que les armes à feu commençaient à exercer sur l'art des fortifications. Afin d'offrir moins de surface au tir de l'ennemi, les tours furent découronnées de leurs toitures et couvertes en terrasses pour y placer des bouches à feu, des talus en terre protégèrent les courtines et pour mieux défendre les approches de la place en décimant l'ennemi par un tir horizontal, des meurtrières furent pratiquées dans les parties basses des tours.
La maison appelée communément la Prévôté et quelquefois la Maison du Roi était située au Fort à l' entrée du Grand Pont. C' était un grand bâtiment flanqué de deux tourelles et dont le dessous voûté servait de porte à l' enceinte fortifiée.
Les portes:
Quatre portes principales donnaient entrée à la ville;
La Porte de Paris, celle du Vexin, celle de Mantes et celle du Petit Pont. Chacune de ces portes se composait d' un pavillon flanqué de deux tourelles avec une voûte fermée de deux vantaux dont l' approche était défendue par une palissade et des barbacanes. L' entrée du Petit Pont était en outre protégée par une grosse tour: la tour de Montmor. L' enceinte partait de ce point et remontait le cours de la Seine en longeant le fleuve sur une longueur de 150 toises. Une autre tour, à cet endroit, couvrait les flancs de cette fortification et protégeait en même temps la muraille orientale.
1 La rue du Vieil abreuvoir occupe aujourd'hui l'emplacement du fossé qui était creusé au pied de la muraille orientale de l'enceinte de Meulan. Ce fossé était rempli par les eaux de la Seine amenées au moyen d une saignée faite à la rivière.
Celle-ci partant des bords de la rivière traversait le grand chemin de Paris où se trouvait la porte de ce mon et remontait vers le château-fort en franchissant la rue de Beauvais sur laquelle se trouvait la porte du Vexin. Au pied de cette muraille était creusé un large fossé qui enceignait la ville. De la porte du Vexin, le mur d' enceinte contournait la montagne Saint-Nicolas et descendait dans la vallée d' Hardricourt jusqu' à la Poterne du Trou qui conduisait aux étangs, puis, traversant la route de Mantes, fermée par la porte de ce nom, il venait toucher le bord de la Seine et couvert par la Tour du Deuil remontait de cet endroit joindre l' entrée du Petit Pont. Les fortifications de l' île Saint-Nicaise se composaient d' un gros pavillon appelé le Fort, entouré de fossés et protégé par une enceinte flanquée de quatre tours. Les eaux de la Seine baignaient le pied des remparts deux portes avec tourelles et ponts mobiles défendaient l' entrée de cette enceinte.
(Noms des rues au XIXe siècle)
1 Cette portion de l'enceinte se trouvait vers la petite rue de la Mairie et débouchait sur la rue des Annonciades où se trouvait la porte du Vexin.
2 Il y avait deux étangs, le grand avait 100 arpents et le petit 50. Ils furent desséchés et convertis en prairie, l'un en 1550, l' autre au milieu du XVIIe siècle.
3 Les deux tours de la porte de Mantes abattues et reconstruites sur le même emplacement subsistaient encore à la fin du XVIIIe siècle. Celle de droite, en sortant de la ville, a été réunie à la maison d'un nommé Gavilliers aux termes d' un acte passé devant Me Leblond notaire à Meulan le 30 juin 1775.
4 Cette tour était située au bord de l' eau, à l' extrémité de la promenades des Petits saules auprès de l' abreuvoir du XIXe siècle.
5 Ce pavillon occupait l' emplacement naguère désigné sous le nom de Place du Fort et aujourd'hui nommé Place Létang.
Pour arriver au pied du château il fallait d' abord franchir deux enceintes défendues par un fossé dont les crêtes étaient couronnées par des palissades qui protégeaient le chemin de ronde sur lequel étaient postés les archers. Ceux-ci criblaient de flèches les assaillants couverts de leurs boucliers comme une tortue de sa carapace.
La porte en chêne massif qui donnait entrée au château était suivie d'une longue voûte où tous les obstacles imaginables avaient été accumulés, deux tourelles saillantes portées sur des culs de lampe en défendaient l' approche, et, du rang de machicoulis qui la surmontait, tombait une grêle de pierres, de poix fondue, de chaux vive et d' autres engins destruction. L'ensemble de ces fortifications offrait, dans son plan, un vaste triangle irrégulier flanqué de quatre tours principales. Un fossé alimenté par les eaux de la Seine entourait cette robuste citadelle qui communiquait avec la première enceinte par un pont, dont une partie, soutenue par une arche, était bâtie en pierre et dont l' autre portion se composait d' un pont-levis. Le même système de défense était appliqué aux deux ponts qui reliaient ile du Fort à la terre ferme..
En 1812 sera décidée la démolition de la porte de la Sangle, ancienne bastille de défense du pont ayant depuis le Haut Moyen Âge gardé l’entrée sur les Mureaux. En ces lieux et place sera érigé un bureau de perception tandis qu’un autre bureau était placé à l’extrémité du petit pont pour que le nouveau « péager » puisse encaisser les droits remis au goût du jour par l’Empereur.
Meulan a été une ville forte qui soutint de nombreux sièges. Du Guesclin la prit en 1364; les Anglais s'en emparèrent après trois mois d'efforts, en 1423 (La Guerre de Cent Ans); Mayenne dut lever le siège qu'il en avait entrepris, ce qui mérita à la cité la reconnaissance de Henri IV. En 1638, Louis XIII ordonna qu'on établît à Meulan une communauté de religieuses de l'Annonciade, en faveur de Charlotte du Puy de Jésus Maria, dont les prières venaient, disait-on, de faire cesser la longue stérilité d'Anne d'Autriche. Ce couvent, commencé seulement en 1670 et terminé en 1683, a fait place, depuis, à de jolies maisons bourgeoises. La ville prit de l’importance au Moyen Âge, devenant le siège du comté de Meulan, zone tampon entre la Normandie et le domaine royal ; des ponts, des remparts et un château y furent alors construits. Pillée par les Vikings menés par Rollon en 878, la ville fut rattachée au domaine royal en 1204 par Philippe Auguste. La nouvelle forteresse construite après la destruction de l'ancienne fut tracée par Pierre de Sarmaise, ancien gouverneur de Macé le Barbier, et par l'ingénieur Jean Barde tous deux choisis par Duguesclin pour diriger ces travaux qui commencèrent en 1365 et se continuèrent jusqu'en 1379.
A l’époque médiévale, le nord du département compte la densité de population la plus importante. Le sud est moins peuplé et couvert de forêt, le sol étant moins propice aux cultures. De grandes familles seigneuriales dominent le territoire comme les Chevreuse-Montlhéry-Rochefort, les Meulan, les Mauvoisin ou les Montfort. Le nord-est du département est quant à lui sous influence royale directe : le roi possède les châteaux de Poissy et de Saint-Germain-en-Laye.
1 La rue du Vieil abreuvoir occupe aujourd'hui l'emplacement du fossé qui était creusé au pied de la muraille orientale de l'enceinte de Meulan. Ce fossé était rempli par les eaux de la Seine amenées au moyen d une saignée faite à la rivière.
Celle-ci partant des bords de la rivière traversait le grand chemin de Paris où se trouvait la porte de ce mon et remontait vers le château-fort en franchissant la rue de Beauvais sur laquelle se trouvait la porte du Vexin. Au pied de cette muraille était creusé un large fossé qui enceignait la ville. De la porte du Vexin, le mur d' enceinte contournait la montagne Saint-Nicolas et descendait dans la vallée d' Hardricourt jusqu' à la Poterne du Trou qui conduisait aux étangs, puis, traversant la route de Mantes, fermée par la porte de ce nom, il venait toucher le bord de la Seine et couvert par la Tour du Deuil remontait de cet endroit joindre l' entrée du Petit Pont. Les fortifications de l' île Saint-Nicaise se composaient d' un gros pavillon appelé le Fort, entouré de fossés et protégé par une enceinte flanquée de quatre tours. Les eaux de la Seine baignaient le pied des remparts deux portes avec tourelles et ponts mobiles défendaient l' entrée de cette enceinte.
(Noms des rues au XIXe siècle)
1 Cette portion de l'enceinte se trouvait vers la petite rue de la Mairie et débouchait sur la rue des Annonciades où se trouvait la porte du Vexin.
2 Il y avait deux étangs, le grand avait 100 arpents et le petit 50. Ils furent desséchés et convertis en prairie, l'un en 1550, l' autre au milieu du XVIIe siècle.
3 Les deux tours de la porte de Mantes abattues et reconstruites sur le même emplacement subsistaient encore à la fin du XVIIIe siècle. Celle de droite, en sortant de la ville, a été réunie à la maison d'un nommé Gavilliers aux termes d' un acte passé devant Me Leblond notaire à Meulan le 30 juin 1775.
4 Cette tour était située au bord de l' eau, à l' extrémité de la promenades des Petits saules auprès de l' abreuvoir du XIXe siècle.
5 Ce pavillon occupait l' emplacement naguère désigné sous le nom de Place du Fort et aujourd'hui nommé Place Létang.
Pour arriver au pied du château il fallait d' abord franchir deux enceintes défendues par un fossé dont les crêtes étaient couronnées par des palissades qui protégeaient le chemin de ronde sur lequel étaient postés les archers. Ceux-ci criblaient de flèches les assaillants couverts de leurs boucliers comme une tortue de sa carapace.
La porte en chêne massif qui donnait entrée au château était suivie d'une longue voûte où tous les obstacles imaginables avaient été accumulés, deux tourelles saillantes portées sur des culs de lampe en défendaient l' approche, et, du rang de machicoulis qui la surmontait, tombait une grêle de pierres, de poix fondue, de chaux vive et d' autres engins destruction. L'ensemble de ces fortifications offrait, dans son plan, un vaste triangle irrégulier flanqué de quatre tours principales. Un fossé alimenté par les eaux de la Seine entourait cette robuste citadelle qui communiquait avec la première enceinte par un pont, dont une partie, soutenue par une arche, était bâtie en pierre et dont l' autre portion se composait d' un pont-levis. Le même système de défense était appliqué aux deux ponts qui reliaient ile du Fort à la terre ferme..
En 1812 sera décidée la démolition de la porte de la Sangle, ancienne bastille de défense du pont ayant depuis le Haut Moyen Âge gardé l’entrée sur les Mureaux. En ces lieux et place sera érigé un bureau de perception tandis qu’un autre bureau était placé à l’extrémité du petit pont pour que le nouveau « péager » puisse encaisser les droits remis au goût du jour par l’Empereur.
Meulan a été une ville forte qui soutint de nombreux sièges. Du Guesclin la prit en 1364; les Anglais s'en emparèrent après trois mois d'efforts, en 1423 (La Guerre de Cent Ans); Mayenne dut lever le siège qu'il en avait entrepris, ce qui mérita à la cité la reconnaissance de Henri IV. En 1638, Louis XIII ordonna qu'on établît à Meulan une communauté de religieuses de l'Annonciade, en faveur de Charlotte du Puy de Jésus Maria, dont les prières venaient, disait-on, de faire cesser la longue stérilité d'Anne d'Autriche. Ce couvent, commencé seulement en 1670 et terminé en 1683, a fait place, depuis, à de jolies maisons bourgeoises. La ville prit de l’importance au Moyen Âge, devenant le siège du comté de Meulan, zone tampon entre la Normandie et le domaine royal ; des ponts, des remparts et un château y furent alors construits. Pillée par les Vikings menés par Rollon en 878, la ville fut rattachée au domaine royal en 1204 par Philippe Auguste. La nouvelle forteresse construite après la destruction de l'ancienne fut tracée par Pierre de Sarmaise, ancien gouverneur de Macé le Barbier, et par l'ingénieur Jean Barde tous deux choisis par Duguesclin pour diriger ces travaux qui commencèrent en 1365 et se continuèrent jusqu'en 1379.
A l’époque médiévale, le nord du département compte la densité de population la plus importante. Le sud est moins peuplé et couvert de forêt, le sol étant moins propice aux cultures. De grandes familles seigneuriales dominent le territoire comme les Chevreuse-Montlhéry-Rochefort, les Meulan, les Mauvoisin ou les Montfort. Le nord-est du département est quant à lui sous influence royale directe : le roi possède les châteaux de Poissy et de Saint-Germain-en-Laye.
La ville
*
Les comtes de Meulan et son comté
https://fr.wikipedia.org/wiki/comtes_de_Meulan
http://racineshistoire.free.fr/Meulan-Beaumont
https://fr.wikipedia.org/wiki/Comté_de_Meulan
Histoire du comté de Meulan
https://books.google.fr/books
Les comtes de Meulan et son comté
https://fr.wikipedia.org/wiki/comtes_de_Meulan
http://racineshistoire.free.fr/Meulan-Beaumont
https://fr.wikipedia.org/wiki/Comté_de_Meulan
Histoire du comté de Meulan
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Un château des Comtes de Meulan
Le patrimoine
L'histoire de la ville
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Les places fortes entourant l'Ile-de-France
Châteaux, château-fort, donjons
Le monde des châteaux
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