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jeudi 18 mai 2017

Livret de photos 6









Les places fortes d'Ile-de-France












Blandy-les-Tours







Beaumont-sur-Oise









Bicêtre






Brie-Comte-Robert






Chevreuse






Dourdan








Dormelles






Farcheville






Livry-gargan







Mantes







Meaux






Melun







Méréville





Pontoise





Saint-Clerc-sur-Epte






Villiers-le-Mahieu


























vendredi 11 septembre 2015

Architecture militaire du moyen-âge en Normandie


















Le premier âge des châteaux-forts au XIe siècle est celui des enceintes castrales et des mottes féodales. Ces constructions de terre, de bois et de torchis offrent un refuge temporaire et permettent une surveillance efficace du domaine.
A la fin du XIe siècle et surtout au XIIe siècle, sous l’effet de l’amélioration des engins de siège, un nouveau type de fortification s’impose. Le donjon roman, avec son plan carré et ses dimensions massives constitue la pièce maîtresse du dispositif fortifié.
Le donjon de Domfront passe ainsi pour être le plus ancien conservé en Normandie tandis que celui plus tardif de Chambois impose encore ses formes généreuses. Cette époque voit aussi l’apparition de gros donjons polygonaux (Gisors) et cylindriques (Bonneville-sur-Touques, Château-sur-Epte, Verneuil, Vernon). C’est alors que le château ajoute à ses constructions une résidence seigneuriale, Henri Ier s’avérant l’initiateur inspiré d’une architecture palatiale nouvelle.
Le château de Caen renferme ainsi encore la grande aula du duc-roi dont le rez-de-chaussée est réservé aux fonctions domestiques et l’étage noble aux réceptions et conseils royaux.

A la fin du XIIe siècle, le perfectionnement des techniques militaires oblige à modifier l’organisation du château en multipliant les enceintes successives, tout en resserrant le dernier périmètre défensif du donjon. Pirou, Gisors et Château-Gaillard préfigurent le troisième âge des châteaux forts…

 Le rattachement de la Normandie s’opère en peu de temps. Il est illustré par le siège et la reddition de Château-Gaillard puis par l’occupation des principales villes et forteresses, Philippe Auguste, grand rassembleur de terres, parvenant sans peine à briser les forces de Jean sans Terre. Cette conquête est suivie d’un réajustement des structures administratives. Philippe Auguste quadrille sa conquête d’un nouveau type de forteresses bâties sur des plans géométriques simples, dotées de grosses tours.
A Rouen, Caen, Gisors ou Vernon, il matérialise ainsi sa domination en marquant la terre de son empreinte personnelle. Si le roi de France conserve les institutions locales, il les confie désormais à des hommes dévoués, recrutés dans la petite noblesse. Les baillis, représentants du roi sur leur ressort et chargés d’appliquer la Grande coutume de Normandie, font leur apparition tandis que les charges diverses augmentent.

Architecture de l'Angleterre Normande:
La fonction de la « motte and bailey », motte castrale doit avoir été fort différente de celle que l'art militaire assignait au gros donjon de pierre. L'autonomie de celui-ci, capable d'abriter d'énormes réserves, était sans commune mesure avec les capacités de résistance de la tour de bois. L'un et l'autre type, d'ailleurs, coexistèrent bien longtemps en Normandie. Il serait utile de comparer notamment les sites où ils furent implantés, et de chercher à préciser le rôle de l'un et de l'autre dans le duché au xr\ Le gros château de pierre, pourvu qu'il fût bien ravitaillé, était quasiment imprenable. Il a gardé, d'ailleurs, ce rôle de forteresse-refuge, jusqu'à la fin du moyen âge : témoins les énormes silos à vivres -qui furent, au XIII et au XIV siècles, construits dans plusieurs enceintes de ce type. Est-ce à dire, pourtant, que la fonction du gros donjon de pierre fut « exclusivement passive » (p. 110) ? On sait que dans son périmètre était souvent basée une troupe de cavaliers, capable de redoutables raids offensifs. Dans la stratégie et la tactique de Guillaume le Conquérant, déjà, le château de pierre est utilisé aussi bien dans l'attaque que dans la défense.
La chronologie des fortifications circulaires comporte, de son côté, de bien difficiles problèmes. Le donjon rond se répand en Angleterre à l'époque (fin XIIe - début XIIIe siècle) où s'affirme « une manière de science de la fortification, remplaçant les méthodes empiriques qui avaient prévalu dans le passé ». Il tombe sous le sens que la tour circulaire permettait une notable économie de matériaux, assurait un excellent flanquement et supprimait les angles, si vulnérables aux projectiles de' gros poids. Comment, dès lors, ces avantages ne s'imposèrent-ils pas plus vite ? Le plan circulaire fut expérimenté en Normandie dès la fin du xi" siècle : le donjon qui subsiste encore à Château-sur-Epte n'est peut-être pas celui que construisit Guillaume le Roux vers 1190-1195 ; mais celui-ci en avait déjà certainement le plan circulaire, et se trouvait entouré, à très faible distance, d'une chemise concentrique à lui. Et pourtant, un quart de siècle après, Henri Beauclerc fera édifier une importante série de forteresses quadrangulaires ; or, de l'une de celles-ci, au moins, celle de Caen, le plan n'était point imposé par la présence d'un donjon antérieur élevé sur le même site.


La motte castrale:

La motte était entourée d’une palissade et protégée par une deuxième enceinte de Jessés moins profonds. D‘autres palissades et alignements de piquets aiguisés protégeaient les logements des chevaliers de la garnison, leur chapelle, les écuries et les bâtiments d’exploitation.
 On utilisait les matériaux pris sur place (terre et bois). Les charpentiers étaient les seuls ouvriers spécialisés. Il fallait seulement vingt journées à une centaine de travailleurs pour la construction d’une motte de 30 mètres de diamètre et de 15 mètres de haut. En raison de l’insécurité et de la facilité que les hommes avaient pour les construire, beaucoup de mottes ont été édifiées. Elle avait deux fonctions prédominantes. Elles servaient de refuge pour les seigneurs qui étaient de grands guerriers à cette époque et elles symbolisaient la domination sur les terres et sur les hommes.




Histoire des châteaux-forts


L'architecture militaire au moyen-âge

Un essai par Eugène Viollet-Leduc


Le château de Falaise, un historique du Néolithique au XXIe siècle




Châteaux, château-fort, donjons leurs racines...


Le monde des châteaux




*   *



Chambois



Château-sur-Epte



Château Gaillard



Harcourt


Vernon






mardi 4 août 2015

Histoire des Châteaux-forts


























Un château-fort (du latin castellum, d'où le terme de castellologie, l'étude des châteaux) est une structure fortifiée essentiellement construite et habitée par la noblesse au Moyen-Âge en Europe, au Moyen-Orient et en Asie.
Les chercheurs actuels débattent sur ce que recouvre le terme de château-fort, mais le considèrent généralement comme « le lieu de résidence fortifié d'un détenteur du droit de ban, à l'origine d'une circonscription territoriale, mandement, châtellenie ou bourg », c'est-à-dire la résidence fortifiée privée d'un noble ou d'un seigneur. Cette définition le distingue ainsi d'un palais qui n'était pas fortifié, d'une fortification qui n'était pas la résidence d'un noble ou d'une ville fortifiée ou d'une citadelle qui étaient une défense publique. Néanmoins, il y a beaucoup de similitudes entre ces différents types de construction. L'usage du terme a varié au cours du temps et a été appliqué à tort à des structures aussi diverses que des maisons fortes ou des castros.
Le château-fort est une innovation européenne apparue au IXe siècle après la chute de l'Empire carolingien dont le territoire a été divisé entre seigneurs et princes. Ces nobles construisirent des châteaux pour contrôler, par la défense passive, mais aussi active, la zone les entourant, mais s'en servirent aussi comme centres de leur administration et symboles de leur puissance (rôle ostentatoire), leur pouvoir politique (siège de la seigneurie châtelaine) et économique : les châteaux urbains servaient notamment à contrôler les voies de communication et la population locale qui venait se fixer dans sa région, les châteaux ruraux ou villageois étaient situés souvent près d'éléments importants pour le village tels que moulins, fours, pressoirs, étangs ou terres fertiles.
Le terme de château-fort est aujourd'hui quelque peu abandonné (au profit de celui de château), car trop restrictif, n'évoquant que la fonction militaire de l'édifice.


Du à l'absence d'invasions, le château a remplacé le château-fort!

C'est Philippe Auguste qui développa les château-forts, les places fortes en France au XIIe siècle.








Les Châteaux à motte
 L' origine des châteaux à motte semble remonter à l' époque des Romains, car l' imitation du prétoire y est sensible. cependant on en voit un grand nombre aux X et XIe siècles.
 A l' extrémité d' une enceinte, et quelquefois au centre, s' élevait une éminence arrondie souvent artificielle, quelquefois naturelle, sur laquelle était assise la citadelle ou la forteresse. Lorsque cette butte était artificielle, elle offrait habituellement l' image assez régulière d' un cône tronqué, c' est ce que l' on appelait une motte. Le donjon était, assez souvent, arrondi ou carré. Il s'agissait d'une tour plus ou moins élevée, tantôt en bois, tantôt en pierre, divisée eu plusieurs étages, et, du haut de laquelle on découvrait une étendue de pays assez considérable.
 En terminant (dit M de Caumont), « ce qui a rapport aux châteaux à motte en terre surmontés de tours en bois, je dois prémunir contre une erreur qui a été souvent commise au sujet de ces éminences coniques. Dans leur état actuel beaucoup d' entre elles ont été prises pour des tumulus de monuments funèbres d' une époque fort reculée, et l' on comprend à quels anachronismes de pareilles méprises ont donné lieu. Ce sont surtout les mottes des châteaux dont l' enceinte extérieure était peu marquée qui ont été méconnues de la sorte. Avec un peu moins de légèreté dans leur examen, les observateurs, dont je parle, auraient trouvé des traces de fossés, et des recherches, mêmes superficielles, leur auraient appris l' origine des éminences qu' ils ont regardées comme des tombeaux gallo-romains ou celtiques »








Les Châteaux en Pierre
 Le XIIe siècle vit naître les guerres des grands vassaux qui multiplièrent les châteaux-forts. On cite parmi les architectes célèbres de ce temps le normand Gundulph, moine de l' abbaye du Bec, depuis évêque de Rochester, et le seigneur de Bellesme qui fondèrent un grand nombre de châteaux ; le premier en Normandie et le second dans les comtés d' Exmes et d' Alençon.
Les châteaux de cette époque différaient peu quant à la forme de ceux du XIe siècle, ils étaient seulement plus grands, entourés de fossés plus profonds, de murailles mieux construites et plus élevées. La pierre fut substituée au bois, la herse est remise en usage, ainsi que la barbacane, ouvrage extérieur destiné à défendre le pont levis.
L' emploi des tours cylindriques ou polygonales le long des murs d' enceinte, à l' exclusion des tours carrées, caractérisent les châteaux de transition du XI au XIIe siècle.
 Le siècle suivant, auquel l' architecture religieuse est si redevable, vit peu de constructions militaires, la France féodale était constituée et le réseau des forteresses complet. D' ailleurs, les Croisades entraînaient les châtelains loin de leurs domaines, aussi ne voit-on guère à cette époque, que des restaurations. Cependant c' est au XIIIe siècle qu' il faut reporter la construction du château de Coucy, monument le plus complet et le plus merveilleux du genre. Il fut bâti par Enguerrand III de Coucy dans la première moitié du XIIIe siècle et sur les ruines de celui qu' Hérivé fit élever en 9o9. C' est ce fameux Coucy dont la devise était « Roi ne suis, Prince ni comte aussi. Je suis le sire de Coucy ».
Ce qui caractérise surtout les châteaux de cette époque, c' est l' introduction du style ogival dans la décoration des portes, des fenêtres et des voûtes. Les appartements sont plus spacieux, plus ornés de rosaces, de trèfles, de moulures et d' armoiries. Les vitraux sont peints, les murs ont des fresques, les plafonds des dorures et les parquets des pavés émaillés. C' est en un mot, la belle époque de l' ornemaniste.


L'histoire des château-forts peut se suivre en plusieurs période;

La première allant jusqu'au Xe siècle, la seconde allant du Xe au XIe, la troisième au XIIe, règne de Philippe Auguste et ses grands travaux de fortifications, la quatrième embrasse le XIIIe,  la cinquième époque du XIV au XVIe, époque à laquelle l'on arrêta la construction des château-forts.

Suite de la page: la construction d'un château-fort, quelques exemples de château-fort encore en place en Ile-de-France,.. https://unchemindeliledefrance.blogspot.com




L'histoire, siècle par siècle, des château-fort à lire page 632


Une page d'information sur les château-forts, 


Architecture militaire au moyen-âge en Normandie


Un exemple du système défensif du château de Pierrefonds



Le monde des châteaux













samedi 4 juillet 2015

Fortifier un carré en tenaille














Traduction d'un livre ancien écrit en vieux Français de Samuel Maroloys, tiré du site du CNAM; 

"Fortifier un carré en tenaille" 


 Premièrement, il faut considérer qu'il serait plus décent de fortifier les angles du carré, que de le fortifier en tenaille, ce qui se doit de faire, à mon avis, lorsque les angles du carré sont si éloignés, c'est un Boulvert au milieu de la courtine. Il faudrait donc le faire ainsi, au lieu de bâtir sur les angles du carré des boulverts aigus, comme ordinairement. 




 Le boulverts des carrés sont; Cela ferait les angles: BCD, FGH, KLM et OPQ, au milieu des cotés du carré, de sorte que les lignes qui forment les tenailles, soient toutes égales entre elles comme ABCDEFGH, etc... Les angles aussi égaux entre eux ce qui se fait en menant les deux diagonales du carré : AI, NE qui s'entrecoupent en R, puis ayant pris la distance AR et posée de AD, de E en B, de E en H et de I en F, cela fait finalement les triangles isocèles ; DCB etc... De la distance DE on aura la figure octangulaire formée en tenaille dont tous les angles sont droit, lesquels peuvent, après, être les angles de boulverts, lorsqu'on à la commodité d'en faire une forteresse royal et que la distance d'angle en angle est d'environ 80 verges (80 mètres ;
 Si les angles droit seraient beaucoup plus proche de 40 ou 50 verges, il y aurait imperfection et ceci ne pourrait être une fortification dite royal! En ces moments, il faut, en un tel regard, décider et mûrement délibérer s'il ne serait pas plus utile de laisser une telle fortification telle que plutôt que de vouloir l'altérer, parce que le contenu d'un tel lieu ne permet d'y employer le temps et la dépense. Les boulverts s'avèrent trop petits et toutes les lignes trop courtes et incapables de faire leurs effets. 
Mais si la distance des angles est capable de soutenir une parfaite fortification, on en fera le dessein comme s'en suit ; soit la ligne EG divisée en 3 parties égales des points 1 et 2. Puis feront deux des parties posées sur HG, comme ici en S. Les points S et I, les distances IG et GS, forment les arcs qui s 'entrecoupent au point 4, par lequel est emmenée la ligne G4 à l'endroit ou elle coupe la ligne HI, au point 2, qui sera I 2, la face ou le plan du Boulvert. Pour avoir son flan, il faut exécuter un angle X, VI de 40° par la ligne X,V passant par les points 2 et 5 et coupant la diagonale GR au point X qui sera le centre du boulvert. De ce point X, par lequel est emmenée une ligne parallèle à la ligne IG comme X,X. Du point 2, l'on doit amener un perpendiculaire comme Y2 et on aura toutes les parties essentielles de la fortification, à savoir la ligne I2. 2 sera la face, Y le flanc donc YX, la ligne de gorge YT, la courtine ZI sera la ligne de défense flanquante. Suivant les angles G,E,C,A et c, posée la distance I,2 et sur les diagonales la distance I,X, l'on pourra parachever une fortification qui avait été bâtie en tenaille. 






Le tout comme appert par les deux bouleverts. I,G ne change pas dans toute cette fortification, que les lignes de tenaille 2 H 5 qui se posent sur 5T, TY et 2Y, qui, en somme, sont un peu plus longue que les susdicts 2 H et H5. 
 Mais la terre qui se tire de l'espace T5, H2,Y, est battante pour suppléer à ce défaut. Le fossé qui a été fait auparavant, même s'il est assez ample et profond, peut être laisser ainsi sans y apporter quelques changements, parcequ'en de telles places, l'on ne peut faire une faussebrayes qu'à grande dépense. Parce qu'elles se font au dehors des remparts ; on fera au de là du fossé un bon chemin couvert suivant nos desseins précédents, pour résister, par ce moyen, plus vivement aux assaillants. L'on pourrait amener (comme appert sur la figure 87 de 5 en H) un bon parapet allant en glassis, d'environ 6 à 8 m d'épaisseur entre H et 5, des traverses élevées les unes au dessus des autres, pour y loger des mousquetaires, lesquels pourraient défendre le passage aux fossés. 
L'on peut tellement accommoder les dites traverses que l'on pourrait y loger aisément deux pièces d'artillerie pour rompre des galeries creusées par l'ennemi vers le fossé et lutter sur une brèche que l'assaillant pourrait entreprendre coté boulverts. 




 "Fortification des places irrégulières"  Par Samuel Maroloys 

(figure 85)













Les fortifications du littoral


Sites Vauban


Fortifications et mémoire


Sur wikipédia












jeudi 21 mai 2015

Les siècles de construction des Châteaux Royaux







Versailles










Creil



Château-fort de Dourdan














I. Les Châteaux Royaux qui datent du XIe siècle 

*  Blois (était déjà renommé par ses fruits son vin et ses poissons. )

*  Choisy

*  Compiègne

*  Etampes

*  Kala (château près de l' abbaye de Chelles) fut restauré par le roi Robert qui l' habitait souvent 

* Mantes

*  Melun

*  Orléans

*  Pierrefonds

*  Poissy

*  Pontoise

*  Senlis

*  Sens

*  Soissons

*  Tours

*  Vitry

*  Vitry-en-Bière (château dans la forêt de Bière ou de Fontainebleau le roi Henri y séjourna en l' année 1052 et y mourut en 1060. )



 II. Les Châteaux Royaux qui datent du XIIe siècle 

*  Anet

*  Bourges

*  Coucy

*  Cuise (La motte)

*  Fontainebleau

*  Gisors

*  La Charité

*  Laon

*  Lorris

*  Montargis

*  Morêt

*  Péronne

*  Saint-Germain-en-Laye

*  Saint-Léger

*  Vernon

*  Vincennes

*  Villers-Coterêts

*  Vitry-en-Laye dans l' Orléanais, Charles le Simple en avait élevé un à Escorphem d' après une charte des archives départementales du Nord (B n° I Invent déposé au minist de l' intérieur)



 III. Les Châteaux Royaux qui datent de la première moitié du XIIIe siècle 

*  Asnières

*  Beaulieu

*  Beaumont

*  Béthizy

*  Breteuil

*  Chambly-l' Aubergier

*  Chauny

*  Corbeil

*  Crespi

*  Dourdan

*  Epernon

*  Evreux

*  Gournay-en-Brie

*  Lions (château de)

*  Meulant

*  Mortemer

*  Nemours

*  Nogent

*  Pacy

*  Pont-de-l'arche (château de)

*  Pont-sur-Yonne

*  Vaudeuil

*  Vendôme

*  Villeneuve-le-Roy

*  Villeneuve-Saint-Georges

 Argenteuil et Guersi donné à l' évêque de Noyon par Philippe I en 1100.
Enfin les abbayes de Gonesse Saint-Maur des Fossés et Royaumont dans lesquelles Saint-Louis séjourna fréquemment.









D'après ;

" Revue Archéologique ou Receuil de documents et de mémoire relatif à l'étude des monuments, à la numismatique et la philologie de l'antiquité et du moyen-âge". 

 Publiées par les principaux archéologues français et étrangers.

 A Leleux (libraire-éditeur) 1860 


 page 391
 https://books.google.fr/books



*


. Les grands Châteaux
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. Les Châteaux à Paris....
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. Châteaux, Castel, Castellum
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. Les Bâtiments Royaux du XVIIe
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