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Beauvais
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Béthisy-Saint-Pierre
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Catenoy
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Chaumont-en-Véxin
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Clermont
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Compiègne
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Courcelles-les-Gisors
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Creil
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Crépy-en-Valois
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Montépilloy
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Noyon
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Pierrefonds
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Senlis
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Saint-Pierre-en-Chastres
, écart de Vieux-Moulin
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Thiers-sur-Thève
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Vez
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Vierzy
Autres enceintes
Beaulieu
La forteresse de Beaulieu, que le séjour momentané de la pucelle d' Orléans après sa capture devant Compiègne a rendue célèbre, fut détruite au mois de juin 1445 par les Bourguignons sous le commandement du comte de Charollois. Cette place très forte avait un périmètre octogone et un donjon central de même figure haut de cinquante mètres, dominant au loin la campagne, on en voit encore la base. Les fossés larges de douze mètres étaient défendus par des ouvrages avancés.
Fontaine-Lavaganne
Planté au milieu d’un jardin d’agrément, d’amples pelouses héritées du XIXe siècle, c’est l’une des rares forteresses venues du Moyen-Age qui subsistent sur le sol picard. Celle-ci est construite dans la seconde moitié du XIVe siècle à l’initiative des seigneurs locaux, les Pisseleu. Les fossés, dont on voit une partie avec une contrescarpe muraillée, dessinaient assure-t-on un périmètre pentagonal. La tour à mâchicoulis et le gros mur paraissent dater du quatorzième siècle. L'ancien château joua un rôle considérable.
Cuise-la-Motte
Cette enceinte est située vers le nord-est de la montagne qui forme une espèce de promontoire entre Couloisy, Lamotte et Cuise, à l'altitude d'environ 130 mètres a la forme d'un quadrilatère de 30 mètres de longueur sur une largeur de 27 mètres d'un bout et 20 mètres de l'autre, le tout mesuré intérieurement. Trois côtés sont garnis de fortes et nombreuses pierres, sur une largeur d'environ 2 mètres, le quatrième côté, qui a 30 mètres de longueur, est formé de pierres moins nombreuses et plus petites que sur les trois autres côtés. Cela tient, très probablement, à ce que cette partie borde l'escarpement du plateau où se trouve l'enceinte. Sur les quatre côtés, les pierres ont été garnies d'une levée de terre, qui est principalement bien conservée sur le côté du sud-ouest, où elle a encore une assez forte hauteur (lm,50 d'après M. Robert).
Fresnières
Vu sur page 201 ://books.google.fr/books
Goulancourt
Les débris de la forteresse de Goulancourt détruite au XVe siècle existaient encore au XIXe siècle dans la vallée de Bray près du hameau de ce nom sur la commune de Senantes. C' était le siège d' une châtellenie du vidamé de Gerberoy que Philippe de Dreux, prélat guerrier, fit fortifier pour le léguer ensuite à ses successeurs. La place fut réparée en 1357 mais on fut obligé de la démanteler vers 142o. Il ne paraît plus possible d' en restituer le plan. Les ruines du XIXe siècle comportaient neuf tours, une porte en ogive à tourelles hexagonale et le donjon encore haut de dix mètres. L' une des tours est pourvue d'ogives à rosaces de la chapelle que l' évêque Simon de Nesle fonda au cours de l' année 1312. Des traces d'un double fossé autour de la place et des restes d' ouvrages avancés notamment de tours dites Houdan et Baignecamp étaient encore présent. Leur étendue attestait l' importance de cet ancien château.
Vu sur page 262 https://www.google.fr/books
La Hérelle
On ne voit de la forteresse de La Hérelle, si importante pendant les guerres du quatorzième siècle, que l' enceinte encore subsistante. Des fossés larges de dix mètres forment un rectangle ayant cent mètres de côté, ils sont entourés d' une plateforme à escarpe et défendus en outre par deux ravins descendant de la forêt.
Vu sur page 199 https://books.google.fr/books
On ne voit de la forteresse de La Hérelle, si importante pendant les guerres du quatorzième siècle, que l' enceinte encore subsistante. Des fossés larges de dix mètres forment un rectangle ayant cent mètres de côté, ils sont entourés d' une plateforme à escarpe et défendus en outre par deux ravins descendant de la forêt.
Mondescourt
Un bâtiment, que l' on dit avoir appartenu aux Templiers, de forme rectangulaire avec pavillon en retour d'équerre entouré de fossés comblés, a des restes de mâchicoulis. Les consoles indiquent le quatorzième siècle, elle possédait des meurtrières, quelques rares fenêtres à meneaux en croix et d' autres plus petites, les murailles épaisses d' un mètre au moins étaient assises sur un soubassement de grès.
Montagny-Sainte-Félicité
le village de Montagny-Sainte-Félicité, est entouré d'une double enceinte dont l'extérieure a pour entrée une longue arcade ogive à deux rentrants flanquée de deux tourelles cylindriques encorbellées unies par une tribune ou galerie transversale.
La deuxième enceinte forme un mur à contour polygonal percé de barbacanes.
Montataire
A proximité des grandes forêts du Nord de Paris, le château de Montataire se dresse sur le Mont du Thérain, au coeur d'un écrin de verdure.
Au XIIe siècle, le château est fortifié et un mur d’enceinte est bâti autour de la ville pour se protéger des attaques. Le château de Montataire était pourvu d'un donjon et d'une enceinte, qui, un peu plus tard connue la construction d'une deuxième enceinte en contre-bas.
Après la Révolution, les murs d’enceinte de la ville sont détruits.
Pont-Sainte-Maxence
Il ne subsiste des fortifications de Pont-Sainte-Maxence qu' un pan de muraille voisin de la rue de Cavile, il tenait au rempart qui fut relevé en 1575 sur ordre d' Henri III, tout le reste a été détruit.
Vu sur, page 201 https://books.google.fr/books
Saint-Jean-aux-bois
Pisseleux (autrefois Piste-leux, repaire de loups) dont on connaît les seigneurs jusqu'à l'an 1178, possède le château de Noue, dont l'enceinte, du XVe ou du XVIe siècle assez bien conservée, forme un carré de 100 mètres de côté; ses murs, peu élevés, sont surmontés d'un chemin de ronde avec meurtrières. Des petites tourelles dispatchées sur la longueur de l'enceinte sont construites tant en encorbellement que sur un pilier. La porte forme un petit donjon avec arceaux, fenêtre à croisillon de pierre et pilastres. Près du château, une ferme voisine passe pour avoir été le premier château de Noue.
Vu sur, page 348 https://books.google.fr/books
Viarmes
Il y eut une enceinte car un fossé au tracé courbé découvert en bordure de la fouille de l'Inrap pourrait correspondre à l’enceinte d’un habitat fortifié implanté autour de l’An Mil qui donnera ensuite naissance au château médiéval.
Les fortifications des places de guerre se sont construites sous l' effet des guerres, du changement des meurs (guerres civils) et du mouvement de la civilisation (invasions).
Il ne reste plus rien ou presque de: Beauvais, Mouchy-le-Châtel, Gerberoy, Clermont, Breteuil, Gournay-sur-Aronde, Compiègne, Noyon, Crépy-en-Valois, Baron, Pont-Sainte-Maxence, Verberie, Creil, Mouy, etc... Les vicissitudes de cette époque remplissent l' histoire militaire de la Picardie.
L'architecture médiévale militaire dans l'Orne
Les fiches historique de château-fort, donjons, d'édifices
en Ile-de-France, hors Ile-de-France (aux alentours)
Quelques fortifications circulaires hors Ile-de-France
Le monde des Châteaux
Châteaux, Château-fort, Donjons...
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